Alors que novembre marque le début de la saison de chauffage, la question de la rénovation énergétique prend une place centrale pour les propriétaires, locataires et professionnels de l’immobilier. En France, les mesures de la loi Climat et Résilience redéfinissent le marché immobilier, avec un impact concret sur les transactions, la location et les travaux.
Adoptée en août 2021, la loi Climat et Résilience impose une interdiction progressive de location pour les logements mal isolés. Les premières étapes sont déjà effectives :
Ces mesures s’inscrivent dans une volonté de réduire de 50 % la consommation énergétique des bâtiments en France d’ici 2050.
Selon une étude de la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM), les biens classés F et G représentent environ 17 % du parc immobilier français, soit près de 5 millions de logements. La mise en application de ces restrictions a accéléré les transactions sur ces biens, souvent vendus avec une décote de 10 à 30 %.
Par exemple, à Béziers, une maison de 100 m² classée G, initialement estimée à 180 000 €, s’est vendue à 140 000 € en raison des travaux nécessaires pour la rendre conforme. Les investisseurs y voient une opportunité, mais les propriétaires occupants, souvent aux revenus modestes, se retrouvent face à un véritable dilemme.
La rénovation énergétique peut coûter cher. Isoler une maison individuelle revient entre 15 000 € et 30 000 € selon les matériaux et la superficie. Pourtant, des aides substantielles existent :
Mais l’accès à ces aides est conditionné à l’intervention d’artisans certifiés RGE (Reconnu Garant de l’Environnement), ce qui peut allonger les délais.
Dans certaines régions, des initiatives locales encouragent les rénovations. À Montpellier, un propriétaire a bénéficié d’un accompagnement complet par une plateforme de rénovation énergétique mise en place par la métropole. Résultat : des économies d’énergie de 35 % dès le premier hiver.
À l’inverse, des propriétaires à Paris rapportent avoir abandonné leurs projets face à la complexité des démarches administratives. Ces contrastes illustrent les défis d’une transition qui n’avance pas au même rythme partout.
Pour les agents immobiliers, le DPE est désormais un critère clé dans les négociations. Un bien bien noté se vend plus vite et à un meilleur prix. En revanche, les biens mal notés nécessitent un accompagnement spécifique pour évaluer les coûts des travaux et informer les acheteurs sur les aides disponibles.
Chez Vives Immo, nous avons mis en place des formations internes pour mieux conseiller nos clients. Nous accompagnons également les propriétaires dans leurs démarches, en travaillant avec un réseau de partenaires certifiés pour accélérer les rénovations.
Chers lecteurs passionnés d'immobilier (et peut-être aussi de fantômes), installez-vous confortablement avec votre chocolat chaud. Aujourd'hui, nous allons explorer ensemble un sujet qui fait frissonner le marché immobilier : les maisons stigmatisées. Promis, aucun fantôme ne sera dérangé pendant la lecture de cet article !
Ou quand votre future maison a plus d'histoires à raconter que votre grand-mère...
Imaginez : vous visitez une magnifique demeure victorienne. Le prix est étonnamment attractif, l'agent immobilier semble légèrement nerveux, et les voisins vous regardent avec un mélange de pitié et de curiosité. Bienvenue dans le monde des maisons stigmatisées !
Une maison stigmatisée, c'est un peu comme ce pull offert par votre tante à Noël : parfaitement utilisable, mais avec une histoire qui le rend... disons... spécial. Ces propriétés portent le poids d'événements passés qui peuvent faire hésiter même les acheteurs les plus rationnels.
(Comme pour les Dragées de Bertie Crochue, certaines sont plus digestes que d'autres)
Les Classiques :
Quand les fantômes font baisser les prix plus efficacement qu'une crise immobilière
Selon les études (oui, des gens étudient sérieusement ce genre de choses !), une maison stigmatisée peut voir son prix chuter de 15 à 25%. C'est comme si les fantômes faisaient leurs propres soldes !
Petit guide des réductions paranormales :
Le bien immobilier qui a eu plus d'adaptations cinématographiques que de propriétaires
En 1974, cette charmante demeure de Long Island est devenue tristement célèbre. Depuis, elle a été vendue plusieurs fois, toujours en dessous du prix du marché, malgré (ou grâce à) sa notoriété. Son dernier prix de vente ? 605 000 dollars, une vraie affaire pour le quartier... si vous n'avez pas peur des célébrités fantomatiques !
Quand les fantômes deviennent un argument marketing
Situé dans la Vienne, ce château est réputé hanté depuis des siècles. Mais ses propriétaires actuels ont eu une idée géniale : transformer cette réputation en atout ! Aujourd'hui, le château propose des visites nocturnes et des séjours "paranormaux". Comme quoi, même les fantômes peuvent devenir des influenceurs...
Ah, septembre ! Ce mois où tout reprend doucement ses droits après l’été. Les feuilles commencent à tomber, les enfants retournent à l'école, et... l’immobilier entre en ébullition. Eh oui, si septembre est souvent synonyme de rentrée scolaire, c’est aussi une période de rush intense sur le marché locatif et immobilier. Mais saviez-vous que cette frénésie n’est pas seulement française ? Prenez New York, par exemple, où en 2012, un appartement minuscule de 8m² – oui, vous avez bien lu, 8m², soit à peine la taille d’un dressing – s’est loué à 1 500 dollars par mois ! Et malgré cette taille ridicule, des dizaines de candidats étaient prêts à se battre (gentiment, bien sûr) pour y poser leurs valises. Bienvenue dans la folie de septembre !
Chaque année, septembre voit débarquer une véritable armée d’étudiants, de jeunes actifs, et de familles fraîchement débarquées dans les grandes villes, tous à la recherche de "l'appartement idéal". À Paris, par exemple, la demande locative explose en septembre, avec une hausse de plus de 20 % par rapport aux autres mois de l’année. Selon les statistiques du ministère du Logement, près de 30 % des baux sont signés entre août et octobre. Et si vous êtes en quête d'un logement en ville à cette période, il vaut mieux vous préparer à une véritable course de fond... ou à un marathon, selon la concurrence ! Un peu comme un Black Friday de l’immobilier : à peine avez-vous trouvé un bien qu'il est déjà parti.
Pour faire face à cette course contre la montre, certains candidats ne manquent pas d’imagination. Un locataire potentiel a même écrit une lettre de motivation pour décrocher un appartement à Lyon, évoquant son amour inconditionnel pour la plante verte posée sur le balcon dans l’annonce. Et ça a marché ! Oui, en septembre, l’audace paie.
Mais attention, car à courir après le premier bien venu, on risque de trébucher sur des pièges parfois invisibles à première vue. Diagnostics approximatifs, vices cachés, et mauvaises surprises sont fréquents quand on prend des décisions trop hâtives. D'ailleurs, en 2023, une étude révélait que 15 % des locataires français regrettent leur choix quelques mois seulement après avoir signé leur bail. Trop tard pour faire demi-tour, le marathon immobilier est terminé.
C’est là qu’intervient la magie d’un bon agent immobilier. Non seulement il vous évite la panique, mais il vous guide, analyse les biens pour vous, et vous assure de ne pas faire de faux pas. Vous n’êtes plus seul face à cette jungle immobilière où chaque appartement semble avoir été réservé avant même que vous ayez eu le temps de cliquer sur "Voir les photos". Et en période de rush, avoir un pro à ses côtés, c’est comme avoir un coach personnel dans une salle de sport : il vous motive, vous conseille, et surtout, il vous évite des erreurs coûteuses (et un abonnement annuel pour un appartement trop petit).
Les statistiques montrent que les personnes accompagnées par un agent immobilier trouvent leur logement 30 % plus vite que celles qui se débrouillent seules. Et ce n’est pas tout : les biens gérés par des agences sont souvent mieux entretenus, avec un taux de satisfaction locataire supérieur de 15 % par rapport aux biens loués directement par des particuliers.
Alors, si vous êtes sur le point de vous lancer dans cette course à l'appartement, faites appel à nous ! Chez Vives Immobilier, nous sommes là pour vous aider à éviter les faux départs et à franchir la ligne d’arrivée avec succès (et sans essoufflement).
Septembre est un mois où l’immobilier peut ressembler...
Dans un monde où tout semble aller de plus en plus vite, le "slow living" s’impose comme une véritable bouffée d’air frais. Ce mouvement, qui invite à ralentir et à savourer chaque instant, commence à influencer la manière dont nous concevons nos maisons et nos espaces de vie. Plus qu’une simple tendance, le slow living propose un retour à l’essentiel, où chaque élément de notre environnement quotidien contribue à notre bien-être. Chez Vives Immobilier, nous voyons cette philosophie comme une formidable opportunité de redécouvrir ce que signifie vraiment "être chez soi".
Le slow living, né en réponse à l’essor du "fast living" caractérisé par la rapidité et la consommation excessive, trouve ses origines dans le mouvement Slow Food, initié en Italie dans les années 1980. Fatigués des chaînes de restauration rapide et de la perte de la culture culinaire locale, des militants ont décidé de prôner un retour aux sources, aux repas partagés et aux produits de qualité. De ce mouvement est née une philosophie de vie plus globale, où la qualité prime sur la quantité, et où l’on privilégie la simplicité et l’authenticité.
Dans l’immobilier, le slow living se traduit par un retour à l’essentiel. On oublie les gadgets dernier cri et les espaces inutilisés pour se concentrer sur ce qui compte vraiment : un foyer chaleureux, fonctionnel, et respectueux de l’environnement. Un lieu où l’on prend le temps de vivre, tout simplement.
Le minimalisme est l’un des piliers du slow living. Exit les meubles encombrants et les décorations superflues ! Ici, chaque objet a sa place et une utilité précise. Un peu comme Marie Kondo, la prêtresse japonaise du rangement, qui nous invite à nous entourer uniquement de ce qui nous "apporte de la joie". Dans une maison slow living, l’espace est dégagé, laissant place à la lumière et à la circulation fluide. Cela ne signifie pas vivre dans un espace froid ou stérile, mais plutôt dans un environnement qui respire, où chaque détail est soigneusement pensé pour apporter sérénité et confort.
Le slow living s’inscrit également dans une démarche éco-responsable. En optant pour des matériaux durables, des énergies renouvelables, et des techniques de construction respectueuses de l’environnement, les maisons slow living réduisent leur empreinte écologique. Saviez-vous que les Romains utilisaient déjà des matériaux locaux et durables pour construire leurs villas ? Aujourd’hui, cette approche est plus pertinente que jamais. La maison passive, par exemple, est un excellent exemple de ce que le slow living peut offrir en termes d’économies d’énergie et de confort thermique.
Le slow living prône une connexion intime avec la nature. Que ce soit par la présence de grandes fenêtres offrant une vue sur le jardin, l’intégration de plantes d’intérieur, ou la création d’un potager, l’idée est de ramener un peu de verdure dans notre quotidien. Dans l'Antiquité, les jardins étaient au cœur des demeures, véritables lieux de méditation et de repos. Aujourd’hui, on redécouvre cette sagesse ancienne en créant des espaces extérieurs qui invitent à la détente et à la contemplation.
Une maison slow living ne serait pas complète sans des espaces dédiés au bien-être. Salle de méditation,...
Chers lecteurs,
Bienvenue dans notreédition de juillet 2024 ! Aujourd'hui, nous plongeons dans un sujet fascinant et révolutionnaire : l'impact de l'intelligence artificielle (IA) sur le secteur immobilier. Préparez-vous à découvrir comment cette technologie transforme notre manière d'acheter, de vendre et de gérer des biens immobiliers, tout en mettant en lumière le rôle indispensable de l'agent immobilier. Et bien sûr, attendez-vous à quelques touches d'humour pour rendre le tout encore plus agréable !
L'IA : Un Outil Puissant pour l'Agent Immobilier
Imaginez un agent immobilier qui ne dort jamais, ne prend jamais de vacances et connaît vos goûts mieux que vous-même. Non, ce n'est pas un rêve (ou un cauchemar), c'est l'IA ! Mais ne vous y trompez pas, l'IA n'est pas là pour remplacer l'agent immobilier, mais pour l'épauler. Grâce à des algorithmes sophistiqués, l'IA peut analyser vos préférences, vos recherches passées et même vos interactions sur les réseaux sociaux pour aider l'agent immobilier à vous proposer des biens qui correspondent parfaitement à vos attentes.
Fait intéressant : En 2024, 75% des acheteurs de maisons utilisent des plateformes d'IA pour affiner leur recherche de biens, mais toujours avec l'accompagnement d'un agent immobilier.
Des Estimations de Prix Plus Précises, Grâce à l'Expertise Humaine
Fini les estimations de prix basées sur des comparaisons approximatives. L'IA utilise des tonnes de données pour fournir des estimations de prix ultra-précises. Elle prend en compte des facteurs tels que les tendances du marché, les caractéristiques spécifiques du bien, et même les prévisions économiques. Cependant, c'est l'agent immobilier qui interprète ces données et apporte une touche humaine indispensable pour finaliser l'estimation.
Fait intéressant : Les estimations de prix basées sur l'IA sont en moyenne 20% plus précises que celles réalisées par des méthodes traditionnelles, mais c'est l'agent immobilier qui fait la différence en apportant son expertise locale.
La Gestion Immobilière Réinventée, avec l'Agent Immobilier en Chef d'Orchestre
L'IA ne se contente pas de révolutionner l'achat et la vente de biens, elle transforme également la gestion immobilière. Des systèmes d'IA peuvent surveiller en temps réel l'état des bâtiments, prévoir les besoins de maintenance et même optimiser la consommation d'énergie. Mais qui orchestre tout cela ? L'agent immobilier, bien sûr ! Il utilise ces outils pour offrir un service de gestion encore plus efficace et personnalisé.
Fait intéressant : Les gestionnaires immobiliers utilisant l'IA ont constaté une réduction de 30% des coûts de maintenance, tout en améliorant la satisfaction des clients grâce à l'intervention proactive des agents immobiliers.
Des Transactions Plus Rapides et Plus Sûres, avec l'Agent Immobilier comme Garant
La blockchain et l'IA forment un duo de choc pour sécuriser et accélérer les transactions immobilières. Les contrats intelligents permettent de finaliser des ventes en quelques heures seulement, avec une transparence totale et une sécurité renforcée. Mais ne vous inquiétez pas, l'agent immobilier reste le garant de la transaction, s'assurant que tout se passe sans accroc.
Fait intéressant : En 2024, 40% des transactions immobilières en Europe...
Les Tendances du Marché Immobilier : Rétrospective des 25 Dernières Années et Perspectives d'Avenir
Le marché immobilier a connu de profondes transformations au cours des 25 dernières années, depuis l'introduction de l'euro en 1999. Cette période a été marquée par des cycles économiques, des innovations technologiques et des changements sociétaux qui ont tous influencé la dynamique du secteur. Voici une analyse des tendances passées, de la situation actuelle et des perspectives d'avenir.
Rétrospective des 25 Dernières Années
1999-2007 : L'Âge d'Or de l'Immobilier
L'introduction de l'euro a coïncidé avec une période de forte croissance économique en Europe. Les taux d'intérêt bas et la confiance des consommateurs ont stimulé la demande immobilière. Les prix des biens ont augmenté de manière significative, notamment dans les grandes villes. Cette période a également vu l'essor des prêts hypothécaires à taux variable, rendant l'accès à la propriété plus facile pour de nombreux ménages.
Fait intéressant : En 2005, Paris a vu une augmentation de 15% des prix de l'immobilier en un an, un record historique à l'époque (Source : INSEE).
2008-2012 : La Crise Financière et ses Répercussions
La crise financière mondiale de 2008 a eu un impact dévastateur sur le marché immobilier. Les prix ont chuté, les transactions se sont ralenties et de nombreux propriétaires se sont retrouvés en situation de défaut de paiement. Les banques ont resserré leurs conditions de crédit, rendant l'accès au financement plus difficile. Cette période a été marquée par une forte incertitude et une baisse de la confiance des consommateurs.
Fait intéressant : En Espagne, les prix de l'immobilier ont chuté de 30% entre 2008 et 2012, entraînant une crise des saisies immobilières (Source : Eurostat).
2013-2019 : La Reprise et la Stabilisation
À partir de 2013, le marché immobilier a commencé à se redresser. Les politiques monétaires accommodantes des banques centrales, notamment la BCE, ont contribué à la baisse des taux d'intérêt, stimulant ainsi la demande. Les prix ont progressivement augmenté, retrouvant et dépassant parfois les niveaux d'avant-crise. Les grandes villes ont vu une forte demande, alimentée par l'urbanisation et l'attractivité économique.
Fait intéressant : En 2017, Berlin a connu une augmentation de 20% des prix de l'immobilier, en grande partie due à l'afflux de jeunes professionnels et de startups (Source : PwC).
2020-2022 : La Pandémie de COVID-19 et ses Effets
La pandémie de COVID-19 a bouleversé le marché immobilier. Le confinement et le télétravail ont modifié les priorités des acheteurs, avec une demande accrue pour des espaces extérieurs et des logements plus spacieux. Les zones rurales et périurbaines ont gagné en popularité. Paradoxalement, malgré la crise économique, les prix de l'immobilier ont continué de grimper dans de nombreuses régions, soutenus par des taux d'intérêt historiquement bas.
Fait intéressant : En 2021, les recherches de maisons avec jardin ont augmenté de 36% par rapport à l'année précédente, selon une étude de SeLoger.
Situation Générale Actuelle
En 2023, le marché immobilier est marqué par une forte demande et une offre limitée, ce qui entraîne une hausse des prix dans de nombreuses régions. Les taux d'intérêt, bien que légèrement en hausse, restent relativement bas, facilitant l'accès au crédit. Les investisseurs continuent de privilégier l'immobilier comme valeur refuge, notamment dans un contexte d'incertitude économique.
La digitalisation du secteur s'est accélérée, avec l'adoption massive des visites virtuelles, des signatures électroniques et des plateformes de gestion locative en ligne. Les préoccupations environnementales influencent également le marché, avec une demande croissante pour des biens respectant les normes énergétiques.
Fait intéressant : En 2022, 70%...
Alors que les marchés immobiliers traversent des turbulences, le luxe semble être un phare dans la tempête. Pourquoi cette résilience? Laurent Demeure, président et CEO de Coldwell Banker Europa Realty, nous livre ses réflexions éclairantes.
Comment se porte le marché de l'immobilier de luxe en France? Le marché a connu une légère correction, mais depuis février, il redémarre rapidement dans les grandes villes comme Paris, Bordeaux et Lyon.
Pourquoi cette résilience? Les acheteurs voient une opportunité avec des taux d'intérêt bas et des prix stables. Les stocks sont faibles et les vendeurs retiennent leurs biens, ce qui maintient l'équilibre.
Tous les segments sont-ils touchés par la crise? La résidence secondaire peine à redémarrer mais devrait suivre l'essor des grandes villes d'ici septembre.
Assiste-t-on à un retour de la clientèle internationale? Oui, notamment grâce à des facteurs comme la série "Emily in Paris". Les Européens et les expatriés français sont les principaux acteurs du marché actuel.
Quid de l'impact de la politique gouvernementale? Jusqu'à présent, l'impact est limité, mais des propositions de lois comme la portabilité du prêt immobilier pourraient dynamiser le marché.
Et le développement de Coldwell Banker? Nous avons renforcé notre présence à Paris et prévoyons d'ouvrir de nouveaux points de vente en France et en Belgique pour les années à venir.
Pour en savoir plus sur les tendances du marché de luxe, consultez l'interview complète ici.
À la Recherche de la Plus Juste Étiquette Énergétique pour les Petits Logements
Depuis sa refonte en 2021, le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) est au cœur des débats. Présenté comme un outil robuste, il a cependant révélé des disparités significatives pour les logements de petites surfaces. Ces écarts impactent directement les propriétaires bailleurs, soucieux de délivrer des logements décents à leurs locataires.
Un logement est considéré comme décent s'il respecte un seuil minimum de performance énergétique. Depuis le 1er janvier 2023, cette consommation d'énergie doit être inférieure à 450 kWhEF/m²/an. Mais à partir de 2025, le critère de classe énergétique devient déterminant.
Face à ces enjeux, le ministre de la transition écologique, Christophe BECHU, a annoncé la mise en consultation d'un projet d'arrêté. Celui-ci vise à évaluer plus justement la performance énergétique des logements de moins de 40m2. Cette proposition prévoit de revoir la surface prise en compte pour le DPE, passant de la surface habitable à la surface de référence du bâtiment.
Cette nouvelle méthode de calcul pourrait améliorer la classe de performance énergétique d'au moins une lettre. Par exemple, un appartement de 20 m² passerait de la classe F à la classe E. Cette réforme impacterait ainsi près de 140 000 logements considérés actuellement comme des passoires thermiques.
Dès aujourd'hui, les propriétaires peuvent estimer la nouvelle étiquette de leur logement en renseignant le numéro du DPE sur le site de l'Observatoire DPE – AUDIT de l’Ademe. À partir de juillet 2024, ils pourront générer une attestation de nouvelle étiquette pour les diagnostics réalisés depuis 2021.
Cette évolution marque un tournant majeur dans la lutte contre la précarité énergétique et renforce l'engagement en faveur d'un parc immobilier plus écologique et plus durable. Espérons que ces changements porteront leurs fruits pour un avenir plus respectueux de l'environnement et plus confortable pour tous.
Source :
Dans le paysage actuel, le changement climatique n'est pas simplement un phénomène lointain, mais une réalité concrète qui touche de près le secteur de l'immobilier. Mickaël Nogal, ancien député et président fondateur de l'association Convergences, souligne l'importance cruciale de reconnaître que l'immobilier est autant une cause que victime du changement climatique.
Parmi les défis auxquels nous sommes confrontés, celui du "retrait et gonflement des argiles" est particulièrement préoccupant. Ce phénomène, affectant plus de 10 millions de maisons en France, est amplifié par le changement climatique, mettant en péril la structure même des habitations et engendrant des coûts considérables pour les assurances.
Les chiffres sont alarmants : selon le CEREMA, 75 % des communes françaises voient plus de la moitié de leurs habitations exposées à ce risque. Et les coûts des sinistres climatiques, entre inondations, sécheresses, tempêtes et grêles, s'élèvent à 69 milliards d'euros entre 1989 et 2019, selon France Assureurs.
Ces données soulignent une réalité incontournable : l'immobilier est non seulement affecté par le changement climatique, mais contribue également à son exacerbation. Les nouveaux logements représentent les deux tiers de l'augmentation des surfaces urbanisées, tandis que le secteur immobilier est responsable de 17 % des émissions de gaz à effet de serre en France.
Face à ces enjeux, il est impératif d'agir dès maintenant. Les professionnels de l'immobilier doivent s'engager dans une démarche proactive pour atténuer les impacts du changement climatique. Cela implique d'accepter des contraintes législatives et réglementaires, ainsi que des mesures controversées telles que l'interdiction de location des passoires énergétiques et la réduction de l'artificialisation des sols.
Pour les acteurs de l'immobilier, il en va de la protection de leur principale ressource : le bâti. En acceptant ces défis et en collaborant avec les autorités publiques, ils peuvent non seulement préserver leur activité, mais aussi contribuer à bâtir un avenir plus durable et résilient pour tous.
Ensemble, nous avons la responsabilité de créer un secteur immobilier plus respectueux de l'environnement et plus résistant aux impacts du changement climatique. C'est une mission vitale pour notre avenir et celui des générations futures.
Réforme Fiscale 2024 : Ce Qui Vous Attend
Alors que l'année 2024 démarre sur les chapeaux de roues, il est temps de faire le point sur les récentes réformes fiscales qui auront un impact direct sur votre portefeuille. Entre actualisation des tranches d'imposition, création de nouvelles réductions d'impôts et prolongation de dispositifs existants, voyons ce qui vous attend cette année.
Impôt sur le Revenu : Tranches Actualisées et Avantages Accrus
Pour commencer, les tranches du barème de l'impôt sur le revenu ont été actualisées avec une augmentation de 4,80%. En parallèle, de nouvelles réductions d'impôts ont été introduites :
Une réduction d'impôt de 66% est désormais accordée pour les dons aux organismes œuvrant pour l'égalité entre les femmes et les hommes.
Des réductions d'impôts sont instaurées pour les souscriptions au capital des jeunes entreprises universitaires et innovantes.
Le crédit d'impôt pour l'adaptation des logements au handicap est prolongé de 2 ans pour faciliter l'accessibilité.
Revenus Fonciers : Prolongation et Harmonisation des Dispositifs
Les dispositifs de réduction d'impôt "Malraux" et "Denormandie ancien" sont prolongés jusqu'à la fin de l'année 2024, offrant ainsi des opportunités supplémentaires pour les investisseurs. De plus, les taux de réduction d'impôt sont alignés pour le "Denormandie ancien", simplifiant ainsi les démarches fiscales.
Plus-Value Immobilière : Continuité des Exonérations et Ajustements
L'exonération de l'impôt sur la plus-value immobilière pour les cessions de biens destinés au logement social est prolongée jusqu'en 2025 pour soutenir la construction de logements abordables. De même, l'abattement exceptionnel "loi Elan" voit sa durée prolongée et son champ d'application élargi pour stimuler l'investissement dans l'immobilier.
Droits d'Enregistrement : Augmentation des Abattements et Clarifications
Les abattements sont relevés à 500 000 € pour les rachats d'entreprises par des salariés ou des proches du cédant, ainsi que pour les donations au personnel salarié. Des ajustements sont également apportés au dispositif Dutreil, avec des exclusions et des définitions légales spécifiques pour une meilleure application de la loi.
Impôt sur la Fortune Immobilière : Alignement et Exclusions
L'imposition à l'IFI est désormais alignée, que les biens immobiliers soient détenus en direct ou via une société. Certaines dettes ne seront plus déductibles dans ce cadre pour assurer une application juste et équilibrée de la loi.
Impôts Locaux : Exonérations et Souplesses
Enfin, des exonérations sont consacrées pour la taxe foncière sur les logements sociaux ayant fait l'objet de rénovations majeures, encourageant ainsi l'amélioration du parc immobilier. Les règles de fixation du taux de taxe d'habitation sur les résidences secondaires sont également assouplies pour mieux répondre aux besoins des contribuables.
Ces réformes fiscales sont conçues pour répondre aux défis économiques et sociaux actuels tout en soutenant la croissance et le développement. Restez informés pour mieux anticiper leur impact sur votre situation financière.
Sources des informations : https://presse.notaires.fr/presentation-de-la-loi-de-finances-2024/ par Sylvain GUILLAUD-BATAILLE, notaire
Chers propriétaires, chers bailleurs,
Depuis le 1er janvier 2024, tous les baux soumis à la loi du 6 juillet 1989 (hors bail mobilité) doivent mentionner le numéro fiscal du bien objet de la location.
Chaque local dispose de son propre numéro fiscal (appartement, cave, parking dépendances…). Il convient de tous les noter sur le bail en fonction de l’objet de la location.
Mais en pratique comment faut-il faire ? Pour cela rien de plus simple, suivez les étapes inscrites indiquées sur la photo de cet article !
Le groupe VIVES IMMOBILIER, vous accompagne et vous conseille dans toutes vos démarches d’achat, de vente, de location et de gestion.
Avec l'évolution rapide du monde, le secteur immobilier n'est pas en reste. Aujourd'hui, nous souhaitons vous introduire à deux concepts qui redéfinissent notre industrie : la tokenisation immobilière et la blockchain. Ne vous inquiétez pas, pas besoin d'être un expert, nous sommes là pour vous guider à travers cette nouvelle ère passionnante !
La Tokenisation Immobilière – Qu'est-ce que c'est ? ????
Imaginez ceci : au lieu d'acheter une propriété entière, vous pouvez maintenant investir dans une fraction de celle-ci. C'est exactement ce que propose la tokenisation immobilière. Concrètement, un bien immobilier est divisé en "tokens" – des parts virtuelles. Chaque token représente une fraction de la propriété, offrant une nouvelle manière d'investir dans l'immobilier, même avec un budget plus restreint.
La tokenisation immobilière est un processus innovant qui consiste à représenter un actif immobilier sous forme de jetons numériques sur une blockchain. En d'autres termes, elle permet de fractionner la propriété d'un bien en unités plus petites, appelées "tokens", qui sont ensuite émis et enregistrés de manière sécurisée sur une blockchain.
Chaque token représente une part spécifique de la propriété, et les investisseurs peuvent acheter, vendre ou détenir ces tokens. Ainsi, la tokenisation offre une méthode de participation à la propriété immobilière avec des coûts d'entrée plus bas, permettant à un plus grand nombre d'investisseurs de prendre part au marché immobilier.
Cette approche apporte plusieurs avantages, tels que la liquidité accrue, la diversification des portefeuilles, une transparence renforcée grâce à la traçabilité des transactions sur la blockchain, et une accessibilité financière élargie. En résumé, la tokenisation démocratise l'investissement immobilier en le rendant plus accessible, transparent et flexible.
La Blockchain – La Technologie En Coulisse ????
Maintenant, parlons de la blockchain, la force motrice derrière cette révolution. La blockchain est une technologie décentralisée, sécurisée et transparente. En termes simples, elle est comme un grand livre numérique immuable qui enregistre toutes les transactions. Appliquée à l'immobilier, elle assure la transparence des transactions, réduit les risques de fraude et simplifie les processus complexes.
La blockchain est une technologie de registre distribué qui fonctionne comme un grand livre numérique décentralisé et sécurisé. Elle enregistre des transactions de manière transparente et immuable en les répartissant sur un réseau de nœuds interconnectés. En d'autres termes, au lieu d'avoir un seul registre centralisé, chaque participant au réseau détient une copie du registre, assurant une transparence et une sécurité exceptionnelles.
Le fonctionnement de la blockchain peut être simplifié en plusieurs points clés :
Décentralisation : Contrairement aux systèmes traditionnels, la blockchain n'a pas d'autorité centrale. Chaque participant du réseau a un accès égal au grand livre, éliminant ainsi le besoin d'intermédiaires.
Cryptographie : Les transactions sur la blockchain sont sécurisées à l'aide de techniques avancées de cryptographie. Chaque bloc de transactions est lié au précédent, créant une chaîne continue de blocs.
Immuabilité : Une fois qu'une transaction est enregistrée sur la blockchain, il est extrêmement difficile de la modifier. Cela garantit l'intégrité du grand livre, renforçant la confiance dans les transactions.
Smart Contracts : La blockchain prend en charge l'utilisation de contrats intelligents (smart contracts), qui sont des programmes informatiques auto-exécutables. Ces contrats automatisent l'exécution de conditions prédéfinies sans nécessiter d'intermédiaire.
Traçabilité : Chaque transaction est enregistrée de manière permanente, créant un historique transparent et vérifiable. Cela améliore la traçabilité des actifs, réduisant les risques...
Salut à tous les passionnés de l'immobilier ! C'est avec une pointe d'excitation que je vous livre les dernières tendances du marché, et il y a du mouvement en cette fin d'année 2023. Accrochez-vous, car les chiffres sont là pour nous guider dans ce passionnant voyage au cœur de l'immobilier.
La Danse des Taux : 4.22% en Novembre, Mais l'Optimisme Règne !
Après avoir frôlé les étoiles à 4.12% en octobre, les taux de crédit immobilier ont pris une nouvelle tournure en novembre, atteignant 4.22%. Une légère hausse de 10 points de base qui, bien que présente, témoigne d'une certaine accalmie. L'année 2023 a vu une moyenne d'augmentation de 18 points de base sur les dix premiers mois, mais gardons le sourire, car le marché ne cesse de nous réserver des surprises !
Variations des Taux Selon la Durée : Quand l'Immobilier Devient Un Art !
Les amateurs de durées standard vont être servis ! Sur 15 ans, nous dansons à 4.12%, sur 20 ans à 4.26%, et sur 25 ans à 4.38%. Le jeu des chiffres peut sembler complexe, mais rappelez-vous, la diversité des offres est la clé pour trouver la mélodie parfaite à votre projet immobilier.
HCSF : Pas de Révolution, Mais Quelques Pas de Danse en Plus !
Le bal du HCSF s'est tenu le 4 décembre 2023, suscitant des attentes de changements majeurs. Cependant, seules quelques notes d'ajustements mineurs ont été ajoutées pour 2024. Les prêts relais ne font plus partie du calcul du taux d'endettement, la possibilité d'emprunter sur 27 ans est de mise avec au moins 10% pour des travaux de rénovation énergétique, et les banques peuvent temporairement dépasser les 20% d'encours. De quoi rendre votre expérience de crédit immobilier encore plus personnalisée et agréable !
Le Marché Immobilier : Un Tango Entre Hauts et Bas
La production de crédit immobilier connaît un léger rebond, porté par le logement neuf, même si les logements anciens continuent de jouer leur propre partition. Le marché de l'immobilier ancien est en berne avec moins de 900,000 transactions attendues en 2023. Un changement de rythme qui impacte les professionnels du secteur et les collectivités, mais restons optimistes, car chaque danse a ses hauts et bas.
Prix de l'Immobilier Ancien : Une Valse en Douceur… ou Presque !
Les prix de l'immobilier ancien connaissent leur première baisse officielle en France depuis 2015, avec un recul de 1.8%. Les appartements sont les premiers à plonger avec une baisse de 2.0%, tandis que les maisons limitent la casse avec -1.6%. Mais attention, ces chiffres datent du 2ème trimestre 2023, et depuis, la danse s'est intensifiée. Gardons en tête que la valse des prix est influencée par une inflation de 5.2% en 2022 et environ 4% en 2023. Le marché évolue, mais c'est une valse, pas un saut périlleux !
Une Carte Postale des Régions : Une Valse à Plusieurs Vitesses
Les régions jouent aussi leur propre partition. Paris et l'Ile-de-France affichent des baisses significatives, tandis que certaines régions comme la Provence-Alpes-Côte d'Azur voient des hausses. Une belle diversité qui fait tout le charme de notre marché immobilier.
Conclusion : Évaluons la Beauté de Chaque Pas
En conclusion, l'immobilier est une danse constante entre les taux, les durées, les régions, et les tendances du marché. Plutôt que de craindre les évolutions, apprécions la beauté de chaque pas et continuons à danser vers notre chez-nous idéal. Pour une estimation personnalisée de votre maison ou appartement, n'oubliez pas, la danse n'en est que plus belle quand elle est unique à chacun ! ????
La Décarbonation comme Moteur d'Innovation
Le secteur immobilier, plongé dans les enjeux environnementaux et sociétaux, se voit désormais au cœur d'une révolution axée sur la décarbonation, selon l'interview de Jérôme Revy sur le journal de l'agence.
L'État comme Catalyseur de la Décarbonation Immobilière
L'État a jeté les bases d'un plan ambitieux visant à réduire les émissions de carbone du secteur immobilier. Avec des objectifs à l'horizon 2030 et une décarbonation complète d'ici 2050, le défi est colossal. Le bâtiment, responsable de 23 % des émissions de GES en France, se trouve au cœur de cette transformation.
Le Rôle Prépondérant de la Proptech
La Proptech, actrice majeure de la transformation digitale du secteur, doit désormais s'attaquer de front à la décarbonation. Si elle a contribué à fluidifier les transactions et la gestion immobilière, son rôle est appelé à évoluer vers des solutions innovantes visant à réduire l'empreinte carbone du secteur.
Consommation Énergétique : Un Champ d'Action Crucial
L'interview met en lumière la nécessité de s'attaquer aux causes de l'empreinte carbone, en mettant l'accent sur la consommation énergétique. Les outils de mesure, notamment via l'internet des objets (IoT), deviennent des alliés précieux pour réduire cette consommation, que ce soit dans l'habitat individuel ou collectif.
Rénovation Énergétique : Un Impératif Immense
La rénovation énergétique des logements se profile comme un chantier colossal pour réduire l'impact carbone du secteur immobilier. Vives Immobilier souligne que c'est en travaillant en amont sur ces questions que l'on pourra réellement amorcer un changement significatif.
Nouvelles Constructions : Le Défi du Béton
L'interview pointe du doigt le carbone émis lors de la construction de nouveaux bâtiments, en particulier ceux en béton. Des solutions alternatives comme le béton bas carbone ou les structures en bois commencent à émerger, mais le chemin est encore long.
Des Solutions Innovantes : Bio-sourcés et Nouveaux Matériaux
Le recours à des matériaux bio-sourcés, tels que la paille ou le carbone, ainsi que l'utilisation de nouveaux matériaux réfléchissants ou absorbants, démontrent que l'innovation matérielle est un levier important pour réduire l'empreinte carbone.
RE2020 et Enjeux Sociétaux
L'interview souligne également l'impact de la RE2020 sur les nouvelles constructions, imposant des normes environnementales vertueuses. Les enjeux sociétaux, tels que la diminution du pouvoir d'achat et l'accès difficile au logement, ajoutent une couche de complexité que les acteurs de la Proptech devront traiter.
Conclusion : Vers une Proptech d'Impact
Pour Vives Immobilier, cette interview révèle que le temps des gadgets immobiliers est révolu. Les enjeux climatiques et sociétaux nécessitent une Proptech d'impact, prête à relever les défis de la décarbonation et à façonner un avenir durable pour le secteur immobilier.
Annonce Majeure : Les Emprunteurs Peuvent Souffler… Un Peu !
Cher(e)s passionné(e)s d'immobilier,
L'actualité financière vient de dévoiler une nouvelle concernant les taux d’usure qui risque de faire parler dans le petit monde des emprunteurs : à partir du 1er novembre 2023, ces taux connaîtront une légère augmentation.
Mais, attendez, ce n'est pas la fin du monde ! Voyons un peu plus en détail ce que cela implique. Les taux d’usure sont un peu comme la limite maximale que les banques peuvent pratiquer pour les crédits immobiliers. Pour vous donner une idée, sur les prêts de plus de 20 ans, ce taux passera à 5,91%, tandis qu'il sera de 5,65% pour les prêts compris entre 10 et moins de 20 ans, et enfin, 4,31% pour les prêts courant sur moins de 10 ans.
Habituellement, toute hausse des taux est synonyme de mauvaises nouvelles pour les emprunteurs, mais cette fois-ci, il y a une lueur d'espoir. Regardez bien notre graphique, vous verrez que la progression est assez faible. En effet, la hausse du taux maximum sur 20 ans a été de seulement 11 points de base, et de 10 points pour les prêts entre 10 et 20 ans, alors que le taux plafond sur les crédits de moins de 10 ans n’a pas bougé. Ces légères évolutions n'ont pas été observées depuis longtemps, ce qui pourrait indiquer que la phase de remontée des taux des banques est en train de se calmer.
D'ailleurs, les experts du crédit sont plutôt optimistes. Ils pensent que les banques retrouvent des marges de manœuvre sur le crédit immobilier, les encourageant à prêter davantage. En bonus, la Banque centrale européenne a décidé de ne pas changer ses taux directeurs. Pourquoi est-ce important ? Parce que cela donne aux banques un peu plus de stabilité et les incite à prêter plus aux ménages.
Bref, c'est un signe encourageant pour les emprunteurs. Les conditions pourraient ne pas être aussi serrées que prévu, donc un soupir de soulagement n'est pas de refus !
Ces mouvements dans les taux d'intérêt et les politiques bancaires nous rappellent constamment l'évolution et la complexité du marché immobilier. Restez connectés pour plus d'infos et d'analyses sur les tendances et opportunités actuelles dans le monde de l’immobilier.
Bienvenue sur le site de Vives Immobilier, votre guide immo ! Aujourd'hui, on plonge dans le grand bain de l'immobilier en France au 3e trimestre 2023, et ça déménage ! Attachez vos ceintures, ça va secouer.
Chute des Prix : C'est la Grande Braderie !
Alors, les amis, si au début de l'année, on avait quelques petits nuages à l'horizon, il semblerait que maintenant, on soit carrément en plein orage. Les prix de l'immobilier ont dégringolé au 3e trimestre 2023, et ça a fait un sacré plouf : -4,1% pour les appartements et -2% pour les maisons. C'est comme si les prix avaient sauté en parachute, sans parachute !
Mais Attention, les Tendances Locales ne sont Pas Kif-Kif
Bon, ne vous emballez pas trop vite, car cette baisse moyenne cache des réalités très variées selon les coins de France. D'un marché à l'autre, ça ne se passe pas du tout de la même façon. Certaines régions sont touchées plus que d'autres, c'est clair comme de l'eau de roche.
Double Trouble : la Crise du Pouvoir d'Achat
C'est là que les choses deviennent funky. On est en pleine double crise du pouvoir d'achat. La première, c'est la faute aux taux de crédit qui ont décidé de se la jouer grand méchant loup, passant de 1,7% à 4,5% en quelques mois. Les emprunts à 20 ans, c'est devenu une sorte de parcours du combattant.
La deuxième crise, c'est carrément le pouvoir d'achat à l'échelle nationale qui en prend pour son grade. L'inflation sévit, ça ne rigole plus. Les familles se retrouvent avec moins d'argent dans leur poche, et ça pique. On se demande si le Monopoly ne serait pas plus fun que le marché immobilier en ce moment.
Ça Rallonge Sévèrement les Délais de Vente
Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Les délais de vente s'allongent comme un élastique qui n'en finit plus de s'étirer : +8 jours pour les appartements et +11 jours pour les maisons. C'est à se demander si on n'est pas dans une version étendue de Monopoly, avec des parties qui n'en finissent pas.
Des Héros Dans ce Bazar : les Secundo-Accédants !
Pourtant, au milieu de ce méli-mélo, il y a des héros qui sortent du lot. Les secundo-accédants, surtout ceux qui ont passé le cap des 60 ans, se la jouent costauds. Ils achètent des biens plus modestes, sans faire de chichis, et ils ne se mettent pas dans le pétrin avec des emprunts à rallonge.
Investissement Locatif, Attention à la Glissade !
Par contre, les biens pour l'investissement locatif, c'est un peu la glissade infernale. Leur part dans les transactions a fondu comme neige au soleil, passant de 30,6% en 2022 à 26,5% au 3e trimestre 2023. C'est un peu comme si le marché de la location s'était pris un coup de pied au derrière.
Charles Marinakis, le boss de Century 21 France, sonne l'alarme : "Je suis très inquiet pour les locataires. L'effondrement de la production de logements neufs et les nouvelles contraintes, tout ça risque de faire plonger le marché locatif. C'est un genre de bombe sociale à retardement."
Paris, la Ville Lumière... Qui S'Éteint ?
À Paris, c'est la grande dégringolade des prix. Le mètre carré est désormais à moins de 10 000€, avec 9679€ au compteur. Les acheteurs, pour se faire un petit nid douillet, réduisent la taille des biens à vue d'œil. On est passé de beaux appartements spacieux à des mini-studios. C'est comme si on jouait à Tetris avec des appartements.
Dans les Régions, ça Sent le Sapin !
En Ile-de-France, ça ne va pas beaucoup mieux. Les prix dégringolent à leur tour : -8,9% pour les appartements et -10,5% pour les maisons. Les volumes de transactions sont en chute libre : -25,4% pour les maisons et -31,9% pour les appartements. Les délais de vente, eux, battent des records. C'est comme si le marché avait pris un coup de mou.
Grandes Villes de France, Chacun son Style !
Et en parlant de marché mou, les grandes villes de France se la jouent à leur manière. Bordeaux se la coule douce avec des prix qui chutent de 13,1%, mais les volumes de transactions se cassent la figure (-19,4%).
Nice, de son côté, prend de la hauteur avec des prix en forte...
Titre : À la recherche de l'élégance : Découvrez les Maisons de Maître avec Vives Immobilier
La maison de maître, avec son charme et son élégance, est un type de demeure qui suscite l’admiration et le rêve. Mais qu’est-ce qui la caractérise ? Comment en trouver une ? Cet article vous propose de découvrir les spécificités de ces propriétés d’exception et les astuces pour dénicher la perle rare.
La maison de maître, un joyau architectural, incarne l'histoire, l'élégance, et un mode de vie réservé à quelques privilégiés. Érigées entre le XVIIe et le XIXe siècle, ces demeures historiques se distinguent par leur taille imposante, leur architecture raffinée et leurs matériaux nobles.
L'Élégance Architecturale
L'extérieur d'une maison de maître se pare d'une façade symétrique, tel un tableau à contempler, avec un portail central encadré de fenêtres. Son toit, souvent en ardoises ou en tuiles, apporte une touche d'authenticité. Les murs en pierre ou en brique racontent les siècles qui ont passé, tandis que les cheminées monumentales évoquent des soirées inoubliables autour du feu.
À l'intérieur, on est séduit par les pièces spacieuses, aux hauts plafonds, parquets, moulures et boiseries qui confèrent un charme inimitable. Un jardin ou un parc arboré entoure souvent la demeure, créant un cadre paisible, propice à la sérénité.
La Quête de la Perle Rare
La recherche d'une maison de maître est une aventure passionnante qui exige patience et détermination. Voici quelques étapes pour dénicher la perle rare :
1. Définissez votre budget et vos critères de recherche. Taille de la propriété, nombre de chambres, emplacement géographique sont des éléments à considérer.
2. Parcourez les annonces immobilières en ligne et dans les journaux locaux. Les sites spécialisés dans l'immobilier de prestige sont souvent de précieuses sources d'information.
3. Sollicitez un agent immobilier spécialisé dans les biens d'exception. Son expertise vous orientera vers des propriétés correspondant à vos critères et vous guidera tout au long du processus d'achat.
4. Explorez les environs. Certaines maisons de maître ne sont pas nécessairement annoncées sur le marché. Une visite sur place peut révéler des trésors cachés.
5. Consultez les notaires locaux. Ils sont souvent informés des ventes en cours ou à venir.
N'oubliez pas que ces demeures historiques sont rares sur le marché, mais leur découverte est une récompense en soi.
Avantages et Inconvénients
Les maisons de maître sont des joyaux de charme et d'authenticité. Leurs volumes généreux et leurs matériaux nobles incarnent le luxe discret. Le cadre paisible et verdoyant qui les entoure favorise la détente, et elles sont souvent des trésors du patrimoine architectural et culturel à préserver et à mettre en valeur.
Cependant, il faut garder à l'esprit les coûts d'entretien et de rénovation parfois élevés, notamment pour le chauffage, la toiture ou les façades. Les règles d'urbanisme et les exigences de protection du patrimoine, telles que les inscriptions aux Monuments Historiques, peuvent poser des contraintes. De plus, l'accessibilité aux transports en commun ou aux commerces de proximité peut être limitée.
Témoignage d'un Propriétaire
Sophie, fière propriétaire d'une maison de maître en Normandie, partage son expérience : "Lorsque nous avons acheté notre maison de maître, nous avons été immédiatement séduits par son charme intemporel. Les moulures, les cheminées et l'immense jardin ont été un véritable coup de foudre. Bien sûr, nous avons dû investir dans des travaux de rénovation, mais chaque pièce restaurée nous rapprochait un peu plus de l'histoire de cette maison. Chaque jour, nous sommes reconnaissants de vivre dans ce lieu magique, imprégné d'élégance et d'âme."
"Réussir Votre Projet Immobilier : Évitez les Refus de Prêt"
Chers amis de Vives Immobilier, nous savons tous que la route vers la propriété est passionnante, mais elle peut aussi être semée d'embûches, notamment lorsqu'il s'agit d'obtenir un prêt immobilier. ????
Le Piège des Passoires Thermiques
Avec la montée des coûts énergétiques, les banques scrutent de près le diagnostic de performance énergétique de votre future acquisition. Une mauvaise note (étiquette F ou G) signifie des factures de chauffage élevées, ce qui peut déséquilibrer vos finances et augmenter le risque de refus de crédit. Pour éviter cela, assurez-vous de bien comprendre ces enjeux. ????
Investisseurs, Soyez Prudents
Si vous envisagez un investissement locatif, soyez prudents. Les banques évaluent le risque, tant pour vous que pour le locataire. Elles tiennent également compte de la qualité du logement, y compris sa performance énergétique. Voici quelques points à garder à l'esprit pour obtenir le financement de votre investissement locatif. ????
Respectez le taux d'effort de 35 % : Votre taux d'effort ne doit pas dépasser 35 % de vos revenus nets avant impôts, en tenant compte de vos autres obligations financières.
Disposez d'au moins 10 % d'apport personnel : Un apport personnel solide peut rassurer la banque et réduire votre emprunt, limitant ainsi les risques.
Gardez de l'épargne résiduelle : Cette sécurité financière vous aide à faire face à d'éventuels problèmes, comme des impayés de loyers ou des travaux inattendus.
Étude de marché : Assurez-vous que votre bien puisse être facilement loué et que vous perceviez régulièrement les loyers, car cela garantit une partie du remboursement du prêt.
Qualité du logement : Communiquez sur les caractéristiques de votre bien, telles que son emplacement et les améliorations que vous prévoyez. ????
Anticipez pour Réussir
Enfin, le meilleur moyen d'éviter un refus de crédit est d'anticiper. Préparez votre dossier de financement en amont, consultez un courtier ou votre banque pour une étude de faisabilité détaillée. Cela vous permettra de savoir si votre projet est conforme aux critères de prêt immobilier et d'éviter les refus de prêt inutiles. ????
En somme, l'achat immobilier peut être une expérience gratifiante, mais la préparation est la clé pour éviter les refus de prêt. Informez-vous, préparez-vous et soyez prudents, et votre chemin vers la propriété sera plus fluide que jamais. ?????
"Assurance Habitation pour Votre
SCI : Une Protection Essentielle"
Propriétaire d'une SCI non occupante, vous vous
demandez peut-être : faut-il souscrire une assurance
habitation ? ?? Bien que non obligatoire, cette
assurance offre une sécurité précieuse contre de
nombreux risques potentiels, des dommages matériels
Deux mécanismes sont à connaître : D’une part, la vente du bien « en occupé ». D’autre part, la vente du bien « libre »
1- Envisageons d’abord le cas de la vente «en occupé»
L’élément principal à retenir est que le propriétaire bailleur ne donne pas congé à son locataire.
Ainsi, le locataire ne bénéficie pas d’un droit de préemption.
Par ailleurs, le bailleur n’a pas l’obligation légale d’informer le locataire du projet de mise en vente. Il en informe le locataire uniquement pour organiser les visites du logement.
Il ne pourra pas s’opposer à ce que le bailleur vende le logement à un autre acquéreur intéressé.
Enfin, le bail en cours se poursuit aux mêmes conditions entre l’acquéreur et le locataire en place.
2 - Envisageons maintenant un projet de vente de l’immeuble libre de toute occupation :
Vendre le logement libre de toute occupation implique de contraindre le locataire à quitter le logement. Il faut donc mettre fin au bail. À cet effet, le propriétaire doit délivrer au locataire un congé pour vendre selon certaines conditions chronologiques.
Le congé doit être délivré et réceptionné par le locataire au moins 6 mois avant la fin du bail. Par ailleurs, s’agissant de l’offre de vente qui accompagne le congé, le locataire ne peut y répondre au plus tôt que 6 mois avant le terme du bail. Toute réponse antérieure, même négative serait inefficace pour purger le droit de préemption. Enfin, le locataire dispose de 2 mois pour répondre à l’offre et une offre subsidiaire doit lui être notifiée en cas de baisse de prix.
Le locataire n’aura l’obligation de quitter le logement qu’au terme du bail.
1 - Quels sont les avantages et inconvénients de la vente « en occupé » ?
- Avantage : Vente immédiate du logement
-Inconvénient : la valeur d’un logement vendu occupé est moindre que celle d’un logement vendu libre de toute occupation. L’autre inconvénient concerne le futur acquéreur qui ne pourra exiger le départ du locataire que deux ans au plus tôt à compter de la conclusion de l’acte authentique.
2 – Quels sont les avantages et inconvénients de la vente « libre »
- L’inconvénient principal de la vente libre de toute occupation est qu’elle ne peut en général pas se faire rapidement, puisque l’on doit attendre la fin du bail.
- L’avantage principal est que le bien pourra être vendu...
Le saviez-vous ? Une révolution dans le droit immobilier est en marche et elle pourrait bien changer la donne pour l'accès à la propriété des ménages modestes et des classes moyennes !
Adoptée le 28 novembre 2019, la loi Lagleize ouvre de nouvelles perspectives en dissociant le droit de propriété. Vous êtes curieux de savoir comment cela fonctionne ?
La loi Lagleize élargit le dispositif de dissociation du bâti et du foncier, déjà instauré par les lois Elan et Alur, à l'ensemble des logements, sans conditions de ressources. Désormais, il est possible d'être propriétaire des murs de sa maison, tout en ne possédant pas le terrain sur lequel elle est construite. Un troisième droit de propriété, en plus du foncier et du démembrement, voit ainsi le jour.
L'objectif principal de cette loi est de faire baisser le coût du foncier, qui a connu une flambée spectaculaire au cours des dernières années. En dix ans, les prix des terrains ont augmenté de 71 %, poussant les classes moyennes à s'éloigner des centres-villes. La loi Lagleize vise à libérer et optimiser le foncier, améliorer le taux de construction, attirer les investisseurs dans le logement locatif, supprimer la spéculation foncière et mettre fin à la hausse des prix.
Pour atteindre ces objectifs, la loi prévoit également la fin de la vente aux enchères par l'État et les collectivités territoriales dans les zones tendues. Cette pratique, qui générait des coûts élevés du foncier, sera remplacée par d'autres dispositifs favorisant la baisse des prix.
Comment fonctionne concrètement la loi Lagleize ? C'est simple ! Vous signez un bail pour le terrain auprès d'un Organisme Foncier Libre (OFL) et vous versez un loyer. Vous pouvez alors construire votre maison sur ce terrain ou en acquérir une déjà construite, en étant propriétaire du bâti. Le prix d'acquisition sera généralement inférieur au prix du marché, offrant ainsi une opportunité d'accéder à la propriété à un coût plus abordable.
Cette nouvelle législation prévoit également la création d'observatoires locaux du foncier et de fonds pour la dépollution. Ces structures aideront à étudier l'évolution des prix dans les zones tendues et à financer la reconversion des friches urbaines et industrielles, augmentant ainsi l'offre de terrains et favorisant la baisse des prix.
Bien que la loi Lagleize ouvre de nouvelles opportunités, elle soulève également des questions, notamment en matière de revente, de succession et de non-paiement du loyer. Ces points sont encore en suspens et nécessiteront des clarifications à l'avenir.
La loi Lagleize représente une avancée majeure dans le domaine de l'accession à la propriété, offrant de nouvelles possibilités pour les ménages modestes et les classes moyennes. Vous rêvez de devenir propriétaire tout en bénéficiant de conditions avantageuses ? N'hésitez pas à vous renseigner davantage sur cette loi et ses implications sur notre site internet !
Chez Vives Immobilier, nous sommes ravis de vous accompagner dans vos projets immobiliers et de vous informer sur les dernières évolutions du marché. Découvrez comment la loi Lagleize peut vous aider à réaliser votre rêve de propriété à un coût abordable. Rejoignez-nous dès maintenant !
Le saviez-vous ?
Une bonne nouvelle attend les propriétaires bailleurs de Vives Immobilier et tous ceux qui souhaitent améliorer la performance énergétique de leurs logements locatifs. En effet, le législateur a récemment mis en place un dispositif qui permet aux propriétaires d'effectuer des travaux de rénovation énergétique tout en bénéficiant d'avantages fiscaux considérables.
Auparavant, les propriétaires de logements énergivores risquaient de ne plus pouvoir les louer, à moins d'entreprendre des travaux visant à améliorer leur diagnostic de performance énergétique (DPE). La loi 2021-1104 du 22 août 2021 a fixé un calendrier d'interdiction, qui commence en 2023 pour les biens classés G, et s'étendra progressivement aux autres logements mal notés jusqu'en 2034, afin de cibler les moins énergivores (notés E). Cependant, cette situation présente des défis financiers pour les propriétaires bailleurs, notamment en raison de l'augmentation des prix des matériaux et de la pénurie de certains d'entre eux.
Heureusement, la loi de finances rectificative adoptée par le Parlement le 25 novembre a apporté une solution favorable aux propriétaires engagés dans des travaux visant à améliorer la performance énergétique de leurs logements. Désormais, le déficit foncier résultant de ces travaux peut être imputé sur les autres revenus du bailleur jusqu'à concurrence de 21 400 euros, soit une augmentation significative par rapport au seuil précédent de 10 700 euros. Cette mesure exceptionnelle offre ainsi aux propriétaires bailleurs une opportunité de réduire leurs impôts tout en investissant dans des améliorations énergétiques essentielles.
Il est important de noter que pour bénéficier de ce nouveau dispositif, certaines conditions doivent être remplies. Les travaux entrepris doivent permettre au logement de passer à une classe énergétique minimale D, et ce changement doit être constaté avant le 31 décembre 2025. Il sera nécessaire de réaliser deux diagnostics de performance énergétique (DPE) : un avant les travaux et un autre après leur achèvement. Cette mesure concerne les travaux effectués entre le 1er janvier 2023 et le 31 décembre 2025.
Il convient de souligner que seules les dépenses déductibles des revenus fonciers sont éligibles à ce dispositif. Par conséquent, les dépenses liées à des travaux de reconstruction ou d'agrandissement, qui ne sont pas déductibles des revenus fonciers, ne permettent pas de bénéficier de ce nouveau plafond. Cependant, il est raisonnable de penser que les travaux d'isolation des murs, des planchers et des toitures seront inclus dans les dépenses éligibles permettant de bénéficier de ce doublement de plafond.
Vous vous demandez peut-être quel impact financier cela aura sur vous en tant que propriétaire bailleur. Pour évaluer les économies d'impôt potentielles, il est nécessaire de prendre en compte votre tranche marginale d'imposition. Rappelons que le déficit foncier est imputé sur vos autres revenus, tels que les salaires et les pensions de retraite, dans la limite autorisée de 10 700 euros ou désormais de 21 400 euros. Votre économie fiscale sera d'autant plus significative si vous vous situez dans les tranches d'imposition les plus élevées.
Ainsi, dans une tranche d'imposition à 11 %, vous pouvez économiser jusqu'à 2 354 euros l'année des travaux, 6 420 euros pour une tranche à 30 %, 8 774 euros pour une tranche à 41 % et 9 630 euros pour une tranche à 45 %. Il est même possible que les avantages fiscaux soient supérieurs si vous bénéficiez également d'une réduction des prélèvements sociaux, en fonction de votre situation fiscale personnelle. De plus, la part du déficit foncier excédant le plafond peut être reportée sur les revenus fonciers des dix prochaines années, ce qui constitue un avantage supplémentaire.
Il est essentiel de noter que ce dispositif est réservé aux locations de logements non meublés, et il représente une excellente occasion pour les propriétaires bailleurs de Vives Immobilier de...
La SCI (Société Civile Immobilière) est une structure juridique très courante en France pour la gestion et l’acquisition de biens immobiliers. Cette forme de société permet de détenir, de gérer et de transmettre des biens immobiliers de manière collective. Elle présente plusieurs avantages notamment en termes de transmission de patrimoine, de gestion locative, de fiscalité ou encore de financement.
La SCI est composée d’au moins deux associés et peut en accueillir jusqu’à 100. Les associés peuvent être des personnes physiques (particuliers) ou des personnes morales (entreprises). Il n’y a pas de capital social minimum exigé pour la création d’une SCI. Les statuts de la société déterminent les modalités de gestion et d’administration des biens immobiliers détenus.
La création d’une SCI présente plusieurs avantages pour les particuliers. Elle permet notamment de faciliter la transmission de patrimoine immobilier et d’organiser la gestion locative de manière plus professionnelle. Elle offre également une grande flexibilité en termes de financement et permet de bénéficier d’un régime fiscal avantageux. Cependant, il est important de bien connaître les règles de fonctionnement d’une SCI avant de se lancer.
Pour répondre à la question de notre couple David et Jeanne, il leur est impossible d’entrer en tant qu’associés dans la SCI familiale qui possède plusieurs biens immobiliers pour n’en acheter qu’un seul. En effet, ce type de montage était possible dans les années 70 via les SCI d’attribution mais ces montages ont aujourd’hui quasiment disparu. Ainsi, pour acquérir le bien des parents de Jeanne dont ils sont locataires, ils devront l’acheter en direct et donc le sortir de la SCI.
La sortie d’un bien immobilier de la SCI peut être réalisée de plusieurs manières. Les associés peuvent décider de la dissolution de la société et de la vente de tous les biens immobiliers qu’elle détient. Ils peuvent également procéder à la cession des parts sociales correspondant au bien immobilier concerné. Dans ce cas, la cession doit être réalisée à un prix équivalent à la valeur réelle du bien. Enfin, les associés peuvent également réaliser une donation du bien immobilier concerné à l’un des associés.
Il est important de noter que la sortie d’un bien immobilier de la SCI peut avoir des conséquences fiscales importantes. En effet, la cession ou la donation d’un bien immobilier peut entraîner une plus-value taxable et des droits de mutation importants. Il est donc recommandé de se faire conseiller par un expert-comptable ou un notaire avant de procéder à la sortie d’un bien immobilier de la SCI.
En conclusion, la SCI est une forme de société très courante en France pour la gestion et l’acquisition de biens immobiliers. Elle offre de nombreux avantages mais nécessite une bonne connaissance de son fonctionnement. Il est important de bien réfléchir avant de sortir un bien immobilier de la SCI et de se faire conseiller par un expert-comptable ou un notaire pour éviter les conséquences fiscales désagréables.
Lien officiel : https://www.economie.gouv.fr/particuliers/societe-civile-immobiliere-comment-faire
L’investissement immobilier, deuxième placement préféré des Français
L’investissement immobilier demeure très attractif en France, malgré un contexte économique compliqué marqué par la hausse des taux de crédit. Selon une étude réalisée par la société spécialisée dans l’investissement locatif HomeLike, l’investissement immobilier est le deuxième placement préféré des Français, juste derrière le Livret A. Dans le détail, 35% des sondés ont choisi l’investissement locatif, contre 50% pour le Livret A, 10% pour les actions et 5% pour la cryptomonnaie.
Le sondage a également révélé que 18% des Français interrogés ont déjà réalisé un investissement locatif. Au niveau européen, seuls les Britanniques (23%) et les Belges (20%) sont davantage intéressés par l'investissement immobilier. De plus, 6% des Français sondés ont l'intention de réaliser pour la première fois un investissement locatif dans les 12 prochains mois.
Cependant, les Français font face à des freins pour investir dans l'immobilier locatif. Pour 48% d'entre eux, c'est le manque de moyens qui les empêche de passer à l’action, devant les soucis générés par une telle opération (36%) et l’achat prioritaire de la résidence principale (30%).
Malgré cela, l'investissement immobilier a atteint un record historique en France en 2020, avec un montant total de 52,4 milliards d'euros investis dans l'immobilier d'entreprise et 36,4 milliards d'euros dans l'immobilier résidentiel, selon une étude de la Banque de France. De plus, le marché immobilier a enregistré un nombre record de transactions en 2020, avec plus d'un million de ventes réalisées, selon le réseau d'agences immobilières Century 21.
En termes de rentabilité locative, les villes moyennes offrent souvent des rendements plus élevés que les grandes métropoles. Selon une étude de la plateforme LocService, les villes les plus rentables pour l'investissement locatif en 2021 étaient Limoges, Saint-Étienne, Le Mans et Brest. Toutefois, les grandes villes comme Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux et Toulouse restent très attractives pour l'investissement immobilier en raison de leur dynamisme économique et de leur forte demande locative.
Le groupe VIVES IMMOBILIER est un partenaire de choix pour les investisseurs immobiliers. Ils offrent des conseils personnalisés en matière de placement locatif et disposent d'un service de gestion locative pour aider les propriétaires à gérer leur bien immobilier en toute sérénité. Pour plus d'informations, rendez-vous sur leur site internet.
En conclusion, l'investissement immobilier demeure un placement très prisé des Français, malgré les freins rencontrés par certains investisseurs. Le marché immobilier français est en constante évolution et offre de nombreuses opportunités d'investissement. Il est important de bien s'informer et de s'entourer des bons partenaires pour réussir son investissement
Chez Vives Immobilier, nous sommes fiers de vous offrir une expérience de visite de propriété immersive et innovante grâce à notre caméra Matterport Pro 2. Cette technologie révolutionnaire permet de créer des modèles virtuels de propriétés réelles, qui offrent une expérience de visite en ligne réaliste et détaillée.
Mais qu'est-ce que Matterport et pourquoi est-ce si intéressant pour les propriétaires qui souhaitent vendre leur maison ?
Matterport est une plateforme de numérisation 3D qui permet de créer des modèles virtuels de propriétés réelles. Cela signifie que nous pouvons créer une visite virtuelle de votre propriété en utilisant notre caméra Matterport Pro 2, qui capture des images haute définition de chaque recoin de votre maison.
Cette technologie est intéressante pour les propriétaires pour plusieurs raisons :
Une visite virtuelle immersive de votre propriété : Grâce à notre caméra Matterport Pro 2, nous pouvons créer une visite virtuelle immersive de votre propriété. Les acheteurs potentiels pourront ainsi visiter votre propriété en ligne, comme s'ils étaient sur place, avec une vue à 360 degrés de chaque pièce, chaque angle et chaque détail.
Un gain de temps : Les acheteurs peuvent économiser du temps en visitant votre propriété virtuellement avant de décider de la visiter en personne. Cela peut éviter des visites inutiles et permettre aux acheteurs de mieux se concentrer sur les propriétés qui les intéressent vraiment.
Une meilleure compréhension de la propriété : La visite virtuelle de votre propriété permet aux acheteurs de mieux comprendre la disposition de la propriété, les dimensions des pièces et les fonctionnalités de chaque pièce. Cela peut les aider à prendre une décision d'achat plus informée et plus confiante.
Un avantage concurrentiel : En utilisant la technologie Matterport pour créer une visite virtuelle de votre propriété, vous pouvez vous démarquer des autres propriétés sur le marché. Les acheteurs potentiels seront impressionnés par cette technologie innovante et pourront mieux apprécier les caractéristiques uniques de votre propriété.
Chez Vives Immobilier, nous sommes fiers de pouvoir offrir cette technologie avancée à nos clients pour leur offrir une expérience de visite de propriété immersive et innovante. Si vous souhaitez vendre votre propriété et offrir cette expérience de visite virtuelle à des acheteurs potentiels, n'hésitez pas à nous contacter. Nous serons ravis de vous présenter notre caméra Matterport Pro 2 et de créer une visite virtuelle de votre propriété dès que possible.
Starting from April 1, 2023, for properties classified as F or G; from January 1, 2025, for properties classified as E; and from January 1, 2034, for properties classified as D. ??? In Guadeloupe, Martinique, French Guiana, Reunion Island, and Mayotte, this requirement will apply starting from July 1, 2024.
Energy-intensive homes (F and G classes in the DPE) are the priority target of public policies for renovating the housing stock, given the high level of energy consumption and the exposure of their occupants to the risk of energy poverty. Properties classified as F or G are thus gradually becoming subject to provisions aimed at:
• requiring the completion of energy audits for all sales of individual houses and collective residential buildings under single ownership (starting from April 1, 2023)
• freezing the increase of their rents (starting from August 25, 2022)
• eventually banning their presence on the rental market through the requirement for a minimum level of performance for decency, which will lead to considering them as non-decent properties.
At Vives Immobilier, we are here to support you in all the steps related to selling your property. Don't hesitate to contact us for more information! ????
Chers propriétaires,
Le GROUPE VIVES IMMOBIOLIER s’engage à vous tenir informé des dernières lois en vigueur afin de vous permettre à avancer en toute sécurité dans le domaine de l’immobilier.
Nous tenons donc à vous informer, que si vous êtes propriétaire d’une résidence secondaire et autres locaux meublés non affectés à l'habitation principale à l’obligation de déclarer avant le 1er juillet de chaque année, son patrimoine sur le site impot.gouv dans la rubrique « biens immobiliers », puis « déclaration d’occupation »
Cette déclaration permettra à l’administration fiscale d’établir la taxe d’habitation sur les résidences secondaires et autres locaux meublés non affectés à l’habitation principale (THRS).
Les propriétaires de locaux affectés à l'habitation devront informer l'administration :
→ De la nature de l'occupation des locaux dont ils se réservent la jouissance,
→ Si les locaux sont occupés par des tiers : les propriétaires seront tenus de déclarer l'identité du ou des occupants des locaux
Le défaut de déclaration, ainsi que l’omission ou l’inexactitude des renseignements seront passibles d’une amende fiscale de 150€ par local.
Depuis le 1er juin 2018 : la convention IRSI (Indemnisation et Recours des Sinistres Immeuble) s'applique en matière de déclaration de sinistre
Depuis le 1er juin, tous les dommages inférieurs à 5.000 € hors taxes rentrent dans le cadre de la convention IRSI, y compris les locaux meublés et saisonniers.
C’est l’assureur du local sinistré qui s’occupe de gérer le sinistre dégât des eaux. On dit de lui qu'il est « gestionnaire » du dossier. Avant, le traitement d'un sinistre impliquait une multitude d'intervenants, ce qui était source de nombreux litiges.
Désormais, ce gestionnaire est chargé de s'assurer de la réalité du dégât, d'organiser les modalités de recherche de fuite, de désigner un expert (pour une expertise commune à tous les assureurs ) et de procéder à l’évaluation des dommages. Il doit ensuite désigner le ou les assureurs qui doivent prendre en charge les dommages selon les nouveaux barèmes (tranches).
En effet, l'IRSI établit deux tranches de sinistres en fonction des dommages matériels et autres frais :
Tranche 1 : dommages inférieurs à 1.600 € HT (sinistre indemnisé par l'assureur gestionnaire avec abandon de recours).
Si le dégât rentre dans la tranche 1, il y aura une prise en charge globale par l'assureur gestionnaire (donc l'assureur de l'immeuble sinistré) et il n'aura pas la possibilité de se retourner contre les autres assureurs pour se faire rembourser une quote-part, sauf s'il y a eu plus de deux sinistres dégât des eaux ou incendie dans les derniers 24 mois.
Tranche 2 : dommages supérieurs à 1.600 HT et inférieurs à 5.000 HT (sinistre indemnisé par l'assureur gestionnaire avec recours).
Si le dégât rentre dans cette tranche, un seul expert est désigné par l'assureur gestionnaire. Son rapport est opposable aux divers intervenants (assureurs des uns et des autres) et ce sera à l'assureur du bien sinistré (donc au gestionnaire) de prendre en charge le sinistre à charge pour lui de se retourner ensuite vers les autres assureurs pour récupérer le coût incombant à chacun selon un barème de répartition inter-assurance.
Le principal avantage de cette convention, tant dans la tranche 1 que 2, est une réduction considérable du temps d’indemnisation des assurés, grâce au respect d’un barème commun et à la prise en charge de l’indemnisation de leurs assurés par les sociétés d’assurance.
Attention ! Au-delà de 5.000 € de dégâts, les autres conventions existantes prennent le relais (Cide-cop) ou encore les recours de droit commun.
A noter : Avec l'IRSI, le coût de la recherche de fuite initiée par le gestionnaire est payé par lui à l'exclusion de l’éventuelle réparation (exemple : joint, changement robinet). En revanche, si les occupants du bien sinistré procèdent à une recherche de fuite avant la déclaration ou réalisent des investigations afin d'éviter l'aggravation du sinistre, ces frais restent à charge de leur propre assureur.
Ce que vous devez encore savoir sur l'IRSI :
La garantie dégât des eaux s'exerce désormais suivant la formule « tous risques sauf » incluant désormais les sinistres d'origine inconnue
IRSI est applicable pour un local meublé ou saisonnier
l'incendie est lui aussi régi par cette convention
en cas de sinistre au sein d'une copropriété, l'assurance de l'immeuble interviendra désormais en troisième après l'assurance de l'occupant, puis celle du copropriétaire-bailleur
avec l'ancienne convention Cidre, les assureurs pouvaient opposer leur franchise. Avec IRSI, ces franchises ou exclusions ne sont plus opposables. La convention et ses réputés garantis priment sur les contrats qui excluraient par exemple la prise en charge de la recherche de fuite ou autres.
Afin d’augmenter ses chances de vendre son bien immobilier, il peut être judicieux de réaliser quelques travaux de façon à provoquer un coup de cœur chez des futurs acquéreurs.
Il faut bien entendu distinguer travaux de rafraichissement et travaux de rénovation !
Pour séduire les acquéreurs potentiels, votre bien en vente doit séduire, plaire et être présenté sous son meilleur jour !
Dans certains cas une simple réfection des peintures peut être suffisante, mais dans d’autres, il faudra envisager des travaux plus conséquents.
Rénovation légère :
Si le bien que vous souhaitez vendre est dans un état correct, a été bien entretenu au fil des années, bien souvent un simple rafraîchissement suffit à le mettre pleinement en valeur. Cela signifie concrètement repeindre certains murs ou nettoyer bien scrupuleusement le logement Cela ne nécessite généralement que peu de frais et permet de présenter votre appartement ou maison sous son meilleur jour et favoriser grandement une proposition d’achat. Si vous vous lancez dans ces travaux de rénovation légère, gardez bien à l’esprit que le choix des peintures, papiers peints ou les différents travaux de rafraîchissement envisagés doivent se faire afin de plaire au plus grand nombre. Privilégiez ainsi les tons clairs, neutres afin que les visiteurs puissent se projeter pleinement dans votre logement et s’imaginer y vivre. Si le bien est trop personnalisé (couleurs très prononcées, papiers peints très chatoyants…), les futurs acheteurs ne pourront pas se projeter et vous aurez du mal à obtenir des offres d’achat.
Quels travaux de rénovation plus importants ?
En premier lieu, il est nécessaire de réaliser tous les travaux afférents à la réhabilitation technique du logement suite à des diagnostics techniques effectués. Votre propre sécurité tout comme la sécurité des futurs propriétaires doit être parfaitement assurée par le bien à vendre.
La mise en conformité aux normes en vigueur est ainsi fortement conseillée. Que cela concerne l’installation électrique ou d’éventuels raccordements au gaz usés et défectueux
En ce qui concerne les travaux de rénovation énergétique, visant à améliorer la performance énergétique du logement en vente, cela est tout aussi vivement recommandé et conseillé. Vous pouvez à cet égard avoir droit à des aides pour la rénovation de votre habitat de l ‘Anah (Agence nationale d’amélioration de l’habitat). Ces aides financières sont destinées à aider les propriétaires à conserver un habitat aux normes en vigueur assurant la pleine sécurité des habitants. Un logement peu énergivore sera en outre beaucoup plus valorisé aux yeux de futurs acquéreurs et favorisera un passage à l’acte de vente beaucoup plus facilement.
En bientôt 10 ans, le Groupe Vives Immobilier est devenu un acteur important du marché immobilier Biterrois et au-delà. Depuis l'ouverture de notre première agence, nous avons eu l'opportunité d'accompagner des centaines de personnes dans la construction de leur projet de vie. Nous en sommes fiers. Aujourd'hui, nous nous implantons sur la commune de Villeneuve-lès-Béziers pour offrir une plus grande proximité à nos clients.
QUEL POSTE A POURVOIR?
Votre profil :
En reconversion professionnelle, vous souhaitez donner un nouvel élan à votre carrière, vous souhaitez tout simplement découvrir un métier varié, complet et riche en connaissances, vous êtes organisé, ponctuel, vous aimez le contact humain.
Votre mission ?
Sous le statut d’agent commercial indépendant, vous vous chargerez de rechercher des biens à la vente, de les estimer, et d’organiser des visites. Vous accompagnerez vos clients dans leur projet de vie du début jusqu’à la fin.
L’entreprise
Le groupe VIVES IMMOBILIER est un acteur majeur depuis près de 10 ans sur le secteur.
Spécialisés dans la vente de maison de village et de caractère, nous réalisons aussi l’activité de gestion locative et de location.
Nous bénéficions des supports de communications les plus efficaces, mais aussi des dernières technologies en matière de visite virtuelles.
Le groupe VIVES IMMOBILIER c’est trois agences à CAPESTANG, SERVIAN, et Villeneuve les Béziers.
En rejoignant le groupe VIVES IMMOBILIER vous évoluerez au sein d’un équipe de professionnels, dans une parfaite entente. Nous accordons beaucoup d’attention à nos collaborateurs, afin qu’ils evoluent dans les meilleures conditions possibles.
Tout en étant indépendant, vous pourrez vous appuyer sur la force d’une équipe solidaire.
Rémunération à la hauteur de vos ambitions.
DISPOSITIF DENORMANDIE : PUBLICATION DES TEXTES D’APPLICATION Adopté dans le cadre de la loi de Finances pour 2019, le dispositif DENORMANDIE élargit les dispositions de la loi PINEL à l’investissement dans l’ancien et hors zone tendue.
LE ZONAGE
Ce dispositif cible les logements à rénover situés dans le centre des villes de taille moyenne. Cette réduction d’impôt s’applique exclusivement aux logements situés dans le centre des communes dont le besoin de réhabilitation de l’habitat en centre-ville est particulièrement marqué (centres-villes des 222 communes couvertes par les conventions « cœurs de ville ») ou qui ont conclu une convention d’opération de revitalisation de territoire prévue à l’article L.303-2 du code de la construction et de l’habitation.
LA RÉDUCTION D’IMPÔT
Il permet à un propriétaire qui achète, entre le 1er janvier 2019 et le 31 décembre 2021, un logement ancien à rénover ou un local qu’il souhaite transformer en logement, de bénéficier d’une réduction d’impôt, égale à 12 %, 18 % ou 21 % du montant de l’investissement réalisé dans la limite de 300.000 euros et de 2 opérations par an.
Un avantage fiscal modulé selon la durée de l’engagement de louer :
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LES CONDITIONS DE LOYERS ET DE RESSOURCES
L’investisseur doit s’engager à louer le bien immobilier pendant 6, 9 ou 12 ans sous conditions de loyers et de ressources pour les locataires.
LES TRAVAUX À RÉALISER
La réduction d’impôt n’est accordée que si l’investisseur s’engage à réaliser dans le logement au moins 25 % du coût total de l’opération (coût d’achat majoré des frais et commissions et des travaux). Il doit s’agir de travaux de rénovation ou de transformation d’un local en logement, réalisés et facturés par une entreprise.
Les travaux de rénovation s’entendent de tous travaux, ayant pour objet la modernisation, l’assainissement ou l’aménagement des surfaces habitables, la réalisation d’économies d’énergie pour ces surfaces ainsi que la création de surfaces habitables à partir de l’aménagement des surfaces annexes. Les surfaces annexes pouvant être aménagées sont les combles accessibles ainsi que les garages en habitat individuel.
Après la réalisation des travaux, le logement doit atteindre un niveau de performance énergétique inférieur au seuil de 331 kWhEP/m2 /an.
Cet objectif peut être atteint de deux manières :
- soit par une diminution de la consommation conventionnelle en énergie primaire, évaluée sur les usages de l’énergie pour le chauffage, la production d’eau chaude sanitaire et le refroidissement, d’au moins 30 % ou 20 % pour les logements en immeuble soumis au statut de la copropriété ;
- soit par la réalisation de deux actions d’amélioration parmi les cinq suivantes : • isolation thermique des toitures ; •...
Dès l’acquisition d’un logement destiné à la location se pose au propriétaire la question de savoir s’il vaut mieux assumer la gestion locative du bien immobilier ou la confier à un professionnel. La mission de gestion locative de l’intermédiaire immobilier comprend notamment la recherche d’un locataire solvable, la rédaction du bail, le versement des charges au syndic de l’immeuble de copropriété, l’envoi du congé au locataire au nom du propriétaire. La gestion locative par un professionnel coûte au propriétaire bailleur en moyenne entre 8 % et 15 % du montant annuel des loyers. CHEZ VIVES IMMOBILIER NOS HONORAIRES SONT PARMIS LES PLUS COMPÉTITIFS DU MARCHÉ ET VARIENT ENTRE 5.5 % ET 9 % TTC DU MONTANT ANNUEL DES LOYERS.
La carte de gestion locative pour le professionnel
Après mûre réflexion, il apparaît que, faute de temps ou de motivation, la gestion locative de vos biens ne vous enchante pas plus que ça. Pas grave, il suffit de trouver un professionnel sérieux et compétent qui acceptera de faire les choses à votre place. Pas n’importe qui et pas n’importe comment. En effet, aux termes de la loi Hoguet (modifiée récemment) sur l’exercice des activités immobilières, le professionnel qui souhaite faire de la gestion locative doit détenir une carte professionnelle délivrée par la Chambre de commerce et d’industrie –CCI- (auparavant la Préfecture) indiquant la mention « Gestion immobilière ». Le professionnel doit détenir une garantie financière destinée à indemniser ses clients si son entreprise périclite et une assurance de responsabilité civile qui prendra en charge les conséquences de ses fautes, négligences et autres perles.
Demandez-lui une attestation indiquant qu’il est à jour du paiement de ses cotisations auprès de la société de garantie financière et de l’assurance responsabilité civile. Car il peut être en règle lors de la délivrance de sa carte professionnelle et ultérieurement cesser de l’être en ne réglant plus ses cotisations. Ce n’est pas une hypothèse d’école primaire, cette situation se rencontre parfois.
Choisissez de préférence un professionnel basé à proximité de vos lieux de vie, domicile ou travail. La grande distance devient source de complication quand les relations tournent mal ou moins bien.
Chez les professionnels de l’immobilier, comme dans toutes les professions, on trouve des gens sérieux et d’autres beaucoup moins. Faites marcher le bouche à l’oreille pour trouver le professionnel qui vous convient. N’oubliez pas que vous engagez votre patrimoine en confiant la gestion locative du bien à un tiers.
Il y a un peu plus d’un mois, Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, affirmait ne pas pouvoir être propriétaire à Paris, malgré ses 7900 euros par mois, parce que «le prix au m² est trop cher». En pleine crise des «gilets jaunes», cette déclaration avait suscité de nombreuses critiques. Mais force est de constater qu’il n’avait pas complètement tort. Actuellement de 9560 euros, le prix moyen au m² dans la capitale pourrait grimper à 9730 euros en avril prochain.
En dix ans, il s’est envolé de près de 62% (6020 euros le m² en 2009). Dans le même temps, le taux d’emprunt n’a été divisé «que» par trois. Conséquence: d’une part, le pouvoir d’achat immobilier à Paris a reculé, passant de 26,7 m² en moyenne en 2009 à 21,2 m² aujourd’hui, selon une étude de Vousfinancer. Soit l’équivalent d’une grande cuisine. «Entre 2012 et 2017, la hausse des prix à Paris était compensée par le niveau des taux. Mais ce n’est plus le cas depuis que les prix ont passé le seuil symbolique des 9000 euros le m² début 2018», explique Sandrine Allonier de Vousfinancer.
D’autre part, les revenus nécessaires pour acquérir un logement dans la capitale se sont envolés. Pour s’offrir un appartement de 50 m² à Paris, financé à 100% via un emprunt (avec 10% d’apport pour financer les frais), un acheteur doit ainsi gagner plus de 7000 euros par mois (7076 euros exactement). S’il souhaite acquérir un 75 m² , ses revenus doivent être supérieurs à 10.000 euros par mois.
Bref, même si les taux d’emprunt restent très attractifs, Vousfinancer pointe du doigt le risque de voir sortir du marché «les ménages modestes ou les primo-accédants qui n’ont plus la possibilité d’acheter la surface dont ils auraient besoin». L’allongement des durées permet actuellement de compenser en partie la hausse des prix mais ce levier, selon les observateurs, se rapproche de son maximum. Selon les derniers chiffres de l’observatoire Crédit Logement/CSA, il a atteint les 20 ans en moyenne. Comme les taux d’emprunt sont au plus bas actuellement, les marges de manœuvre pour les acquéreurs se réduisent comme peau de chagrin. Ce qui pousse certains à quitter la capitale pour des villes comme Bordeaux, Lyon et désormais Nantes ou Rennes pour s’offrir un plus grand logement
SOURCE: le Figaro Immobilier.fr
Le mandat de vente en matier d'immobilier necessite une transparence lorsque il s'agit de mettre des honoraires de vente de l'agent immobilier à la charge du vendeur ou de l'acquéreur.
Il est important de préciser que les honoraires de l'agent immobilier sont libres, mais ces derniers doivent être respectés lors de la signature du mandat de vente. En effet, le professionnel à l'obligation d'appliquer son bareme lors de la prise de mandat et il ne peut y deroger que dans certains cas. Cette mesure vise à empêcher certains professionnels de pratiquer des honoraires "à la tête du client"
De plus, le professionnel doit être transparent concernant la charge des ses honoraires. L'option choisie (charge acquéreur ou vendeur) n'est pas sans conséquence sur les publicités:
En effet, pratiquer des honoraires charge acquéreur implique davantage de contraintes.
Depuis un arrêté du 10 janvier 2017, les annonces doivent dans ce cas indiquer :
- le montant TTC (toutes taxes comprises) des honoraires du professionnel qui reviennent à l’acquéreur, exprimés en pourcentage de la valeur du bien vendu ;
- la part des honoraires dus par le preneur ainsi que le prix de vente sans et avec ces frais (le prix avec les frais inclus devant être inscrit en caractères plus importants).
A l’inverse, lorsque les honoraires sont à la charge du vendeur, la publicité indique uniquement le prix de vente ainsi ainsi que celui à qui incombe le paiement desdits honoraires (sans précison sur le montant en % ou en euro)
De plus en plus de transparence!
Toutes ces mesures ont pour but d’apporter aux acquéreurs toujours plus de transparence.
Elles doivent permettre d'éviter une pratique appelée "basculement d'honoraires" qui est désormais très contrôlée par la DGCCRF, laquelle n’hésite pas à mettre aux agents immobiliers des avertissements et des amendes, invoquant des « pratiques commerciales trompeuses », ou des « publicités de nature à induire en erreur ».
Cette mesure permettait à un acquéreur de supporter au dernier moment les honoraires du professionnel, faisant ainsi de diminuer les frais de mutations (dits de notaire) qui étaient calculer sur le prix net vendeur et non frais d'agence inclus. L’état n'y trouvait pas son compte avec pour conséquence une...
En 2017, le nombre de transactions réalisées par les non-résidents de nationalité étrangère est en hausse (+2%), après une légère baisse en 2016 (-3,6%). Le montant moyen des transactions des non-résidents étrangers, quant à lui, baisse de 1,6% (303 000€ versus 308 000€ en 2016).
Les Britanniques gardent le 1er rang!
Le nombre de transactions réalisées en France par les Britanniques en 2017 a baissé de près de 18% versus 2016.
Pour autant, les Britanniques conservent leur premier rang avec 25,9% des transactions réalisées en 2017, suivis des Belges au second rang avec 18,4% qui enregistrent une forte progression en nombre de transactions avec +21,3% en 2017 versus 2016. Loin derrière, arrivent les Suisses (8,1%) avec une progression de +15,5% en 2017 par rapport à 2016, les Allemands (7%), les Italiens ex-aequo avec les Néerlandais (5,5%) qui complètent ce Top 5
PACA et Rhône-Alpes : les deux régions phares
35% des transactions réalisées par les non-résidents étrangers le sont en PACA et en Rhône-Alpes.
Les régions les plus attractives restent sensiblement identiques à 2016. Toutefois, il est à noter une baisse du volume des transactions sur les deux régions phares (-6% en PACA versus 2016 et -2% en Rhône-Alpes), ainsi que sur la Bretagne (-2%) qui est en 7ème position et le Poitou-Charentes (-15%) qui est en 9ème position.
L’Aquitaine conserve sa place en 5ème position et continue de progresser en 2017 (+12%). La Lorraine arrive dans le Top 10 avec une progression +27%.
Source: BNP PARIBAS INTERNATIONAL BUYERS
Le groupe VIVES IMMOBILIER est heureux de proposer toujours plus de visibilité aux vendeurs qui nous ont confiés la vente de leur maison et qui nous font confiance.
Pour cela, nous avons proposé certains de nos biens à l'équipe de tournage "a place in the sun".
A Place in the Sun est une série télévisée de la chaine britannique channel 4 qui tente de trouver une "propriété parfaite" sur le marché au Royaume-Uni, et à l’étranger. Il se concentre le plus souvent sur des endroits du sud de l'Europe, mais ces dernières années, il a également accueilli un certain nombre de lieux dans d’autres régions du monde telles que la Floride et les Caraïbes.
En règle générale, chaque épisode de l'émission montre un couple britannique souhaitant acheter une propriété dans un pays étranger et ensoleillé. Le présentateur en partenariat avec des agences locales présentent plusieurs biens pouvant correspondre à la recherche des acquéreurs. Après avoir visité chaque propriété, le couple est invité à donner son avis. À la fin de l’émission, le couple se positionne ou non sur l’un des biens présentés.
Cette émission étant très connue et appréciée de britanniques, il n’est donc pas nécessaire de souligner que les biens visités ont de grandes chances d’être vendus !
Expatriation, résidence secondaire, placement… L'investissement immobilier en Europe reste complexe.
Cette opération met en jeu des règles de droit français et de droit international. Il est essentiel d’en connaître les tenants et aboutissants avant de se lancer.
La monnaie unique, la libre circulation des personnes, des biens et des capitaux facilitent aujourd’hui l’acquisition immobilière hors de nos frontières. Mais ce type d’achat demeure...
Base de calcul
La plus-value est égale à la différence entre le prix de vente (diminué des frais de cession et du montant de la TVA acquittée) et le prix d’achat (majoré des frais d’enregistrement réellement payés lors de l’achat ou forfaitairement de 7,5 % du prix d'achat) ou la valeur déclarée lorsque le bien a été reçu par donation ou sucession.
Les dépenses de travaux
Le prix d'acquisition peut être majoré des dépenses de construction, de reconstruction, d'agrandissement ou d'amélioration dès lors qu’elles ont été supportées par le vendeur et réalisées par une entreprise sous réserve de présentation des justificatifs (factures soumises à TVA. Nota : les matériaux et travaux effectués par le propriétaire par lui-même ne sont plus déductibles.) Il faut de plus qu’elles n’aient pas déjà été prises en compte pour la détermination de l'impôt sur le revenu (notamment déduction au titre des revenus fonciers) et qu'elles ne présentent pas le caractère de dépenses locatives (CGI, art. 150 VB II, 4°).
Le secteur de l’assurance emprunteur s’ouvre à la concurrence !
Par conséquent, les foyers déjà détenteurs d’un crédit immobilier ou ceux qui veulent en souscrire un, peuvent à compter du 1 janvier 2018 changer d’assurance tous les ans pour leur prêt.
• Qu’est-ce qu’une assurance-emprunteur?
Il s’agit d’une assurance qui n’est pas obligatoire mais que les banques imposent systématiquement pour valider un prêt immobilier. La raison ? Parce qu’elle les protège contre d’éventuels impayés dans le cas d’un décès, d’un accident ou d’un licenciement. Dans ce cas, l’assurance rembourse le capital restant dû à l’organisme prêteur.
• L’emprunteur peut-il choisir?
Il a le choix entre l’assurance de sa banque ou celle d’un concurrent. Jusqu’à l’entrée en vigueur de la loi Sapin II, les emprunteurs pouvaient résilier leur contrat d’assurance-emprunteur à tout moment mais uniquement durant la première année. Depuis le 1er janvier 2018, il est possible de le résilier chaque année sans frais et sans justification.
• Quelles différences entre ces deux types d’assurance?
La différence est essentiellement liée au prix. Par conséquent l’assurance que vous propose votre banque est fréquemment plus chère qu’une assurance individuelle concurrente.
Le changement permettrait de réaliser des économies de 500€ à 700€ par an
• Quelles économies puis-je espérer réaliser?
L’ouverture de ce secteur à la concurrence ne signifie pas obligatoire que tous les emprunteurs ont intérêt à changer chaque année d’assurance. Effectivement, le changement sera utile si votre état de santé s’est amélioré (arrêt du tabac par exemple).
Dans ce cas, un emprunteur célibataire, en bonne santé, non fumeur, pourra économiser 4000€ sur un prêt de 120 000€ à 1.6% sur 20 ans, en choisissant une assurance individuelle !
1. Remplacement de l’ISF par l’IFI
Place désormais à l’impôt sur la fortune immobilière (IFI). Vous êtes redevables de l’ISF? Rien ne changera vraiment pour vous puisque dans les faits, vous étiez déjà redevables de l’ISF sur le patrimoine immobilier. L’IFI seracalculé sur la valeur de vos biens:
0,5 % pour un patrimoine compris entre 800 000 et 1,3 million
0,7 % entre 1300 000 et 2 570 000 euros
1 % entre 2 570 000 et 5 000 000 euros
1 ,25 % entre 5 000 000 et 10 000 000 euros
1,5 % au delà de 10 000 000 euros.
2. Pinel et le prêt à taux zéro (PTZ) remaniés
Le PTZ et le dispositif Pinel seront prolongés jusqu’au 31 décembre 2021.
Les conditions d’octroi seront néanmoins recentrées:
Pinel sera mobilisable seulement sur les zones dites « tendues » (A, Abis et B1)
Le PTZ sur le neuf sera logé à la même enseigne que le dispositif Pinel. Notez cependant que les particuliers des zones B2 et C pourront y recourir entre 2018 et 2020 pour maximum 20% du montant du prix du bien.
Le PTZ sur l’ancien se concentrera sur les zones B2 et C pour les quatre prochaines années.
3. La location meublée encore plus intéressante
Bonne nouvelle pour ceux qui souhaitent louer en meublé. L’article 10 du projet de loi de finances 2018 prévoit de rehausser le plafond des recettes du régime micro-Bic. Le seuil annuel passera, si la loi est votée en l’état, de 33 200 à 70 000 euros pour les locations meublées, hors locations saisonnières classées. Ces dernières verront aussi leur plafond augmenter : 170 000 euros par an en 2018 contre 82 800 euros auparavant.
4. Le foncier constructible plus facile à libérer
Pour le gouvernement, la meilleure solution pour faire baisser les prix de l’immobilier est de faciliter la construction. Ainsi, sera mis en place dès 2018 un abattement fiscal à plusieurs niveaux, sur les plus-values réalisées en cas de cession d’un terrain à bâtir ou de terrains bâtis, si la promesse de vente est conclue avant fin 2020. La déduction fiscale fonctionne de la manière suivante : 100 % pour une cession réalisée en vue de construire du logement social, 85 % pour faire de l’intermédiaire, 70 % du logement libre. Ce dispositif ne sera appliqué que dans les zones tendues.
5. Un nouveau bail à durée déterminée
Emmanuel Macron l’avait promis pendant la campagne présidentielle. Dès février 2018, la création du bail mobilité sera insérée dans le projet de loi logement. Ce contrat de location d’une durée de un à dix mois, non renouvelable, ne nécessitera pas de dépôt de garantie de la part du locataire. Le montant des charges prendra la forme d’un forfait non justifiable. Reste à savoir quel sera le public visé par ce contrat. Durant la campagne, le président de la République souhaitait le réserver aux stagiaires, aux jeunes en apprentissage ou en formation professionnelle. Depuis, il se murmure qu’il pourrait être utilisé avec n’importe qui, sans distinction.
6. Coup de rabot dans les APL
La baisse des aides personnelles au logement (APL) n’est pas terminée. Le gouvernement planche, pour l’année prochaine, sur une réforme du financement de ce dispositif. L’objectif jusqu’à présent est de contraindre les offices HLM de faire reculer de 60 euros par mois le montant de l’ensemble de leurs loyers. A cette condition, d’après le ministère de la Cohésion des Territoires, il serait possible de poursuivre la baisse des dépenses consacrées aux...
Depuis toujours et plus particulièrement aujourd’hui, beaucoup de personnes s’intéressent à l’investissement locatif pour plusieurs raisons : capitalisation, rentabilité intéressante par rapport à des placements financiers en baisse, revenu mensuel constant, valeur de la pierre constante, capital retraite, etc…
Pour ne pas commettre d’erreur voici quelques notions:
-le secteur géographique
Le secteur géographique, et l’environnement, sont des notions primordiales en matière de placement locatif.
Effectivement, un bien immobilier situé dans une zone calme, proche des commerces, avec un stationnement facile se louera plus facilement, et par conséquent le risque lié à la carence locative sera limité.
Cependant, plus le secteur sera privilégié, plus le prix d’acquisition sera élevé : le taux de rentabilité risque donc d’être moins important.
Il est donc nécessaire de trouver le juste milieu lorsqu’on on investit ou plus exactement connaître l’objectif à atteindre en matière de rentabilité, et de risque.
Par exemple, un investisseur qui souhaite acquérir un immeuble de rapport situé dans un quartier / secteur peu recherché exigera un taux de rentabilité important pour faire face à la prise de risque, alors qu’un investissement dans un appartement de 90m2 avec terrasse et garage en plein centre de Montpellier offrira certainement un taux de rentabilité plus faible.
-le type de bien
Le type de logement que vous souhaitez acquérir est aussi une notion à prendre en compte.
Dans d’un village un investisseur préférera des logements offrant 2/3 chambres avec extérieurs et garage pour répondre à la demande des ménages, alors que dans des grandes villes il sera préférable d’acquérir de plus petites surfaces.
De plus, il ne faut surtout pas négliger l’état du bien proposé à la location. Effectivement, le logement devra répondre à des normes de salubrité et de décence, mais pas uniquement : un logement en bon état se louera plus facilement et les locataires resteront certainement plus longtemps dans les lieux.
Cela ne veut pas dire qu’il faut écarter immédiatement un investissement qui nécessitera des travaux : certains investisseurs prêteront un achat nécessitant des travaux afin de créer du déficit foncier (notion que nous verrons dans l’article suivant).
-le loyer
Le loyer est librement fixé par le propriétaire bailleur. Il peut être révisé chaque année à la date d’anniversaire du bail ou être prévu lors d’une révison triennale. Tout dépend du contrat. Cependant, la révision du loyer obéit à des règles précises (indice ICC, IRL, etc), et le propriétaire n’a pas le droit de réévaluer son loyer comme bon lui semble (notre équipe se tient à votre disposition pour vous aider sur ce point)
-les garanties
De nos jours, beaucoup d’investisseurs hésitent à se lancer à cause du risque de loyer impayé. Effectivement, très souvent l’investisseur acquiert son bien par le biais d’un prêt immobilier, et en cas de non paiement du loyer, c’est le propriétaire qui doit faire face aux ennuis (frais de juste, délai très long en cas de procédure d’expulsion, etc..)
De plus en plus de propriétaires se tournent donc vers des professionnels pour la gestion de leur bien. Ces derniers proposent plusieurs services et formules avec notamment des garanties comme l’assurance loyer impayée. Cette solution est très efficace, et en cas de défaut de paiement c’est le professionnel qui supportent l’ensemble des frais : paiement du loyer, frais de justice et de procédure.
A noter que ces frais de gestions sont déductibles de votre déclaration de revenus locatifs ! Notre équipe se tient à votre disposition pour de plus amples renseignements sur les formules de gestions locatives que nous proposons.
Notre avis : Les prix de l’immobilier étant très attractifs à l’heure actuelle, tout comme les taux d’intérêt, c’est donc le moment de se lancer si vous...
Le ministère de l'Économie et des Finances a été interrogé par un parlementaire sur la possibilité pour un agent immobilier de pratiquer des réductions d’honoraires en transaction.
Réponse ?
La question :
Un député a demandé aux pouvoirs publics la manière dont l'arrêté ministériel du 10 janvier 2017 doit être interprété. Cet arrêté implique que tout agent immobilier doit désormais respecter ses tarifs en transaction (barème affiché en vitrine, annonces diffusées avec les honoraires non incluses, ...). Plus précisément, ce député à demander si l'obligation édictée par l'article 2 I de l'arrêté, qui est celle « d'afficher les prix effectivement pratiqués des prestations », l’emporte sur l’« interdiction de déroger, pour les professionnels de l'immobilier concernés, aux prix affichés en concédant des remises ou ristournes aux clients ».
La réponse :
Du ministre de l'Économie et des Finances sur la disposition de l'arrêté du 10 janvier 2017 : l’obligation « signifie que le professionnel doit veiller à appliquer effectivement les prix affichés dans la majorité des transactions de vente auxquelles il participe. Les rabais par rapport au barème sont autorisés : il est possible de déroger à ce barème de prix dans le cadre des négociations, mais dans des limites proches des conditions pratiquées, seulement à la baisse, et pour des affaires particulières. En revanche, si le professionnel souhaite adapter de manière générale et permanente ses tarifs, il lui est parfaitement possible de modifier ses barèmes. En dehors des conditions précitées, le non-respect du barème, que cela soit à la hausse ou à la baisse, est susceptible de consister un délit de pratique commerciale trompeuse au sens des articles L. 121-2 et suivants du code de la consommation » (réponse ministérielle : JOAN du 31 octobre 2017 p. 5300 n° 1209).
En pratique :
La réponse ministérielle reprend « mot pour mot » la vision de la DGCCRF, formulée dans sa « note » d'interprétation de l'arrêté du 10 janvier 2017. Rien de neuf donc, et aucune « souplesse » n'est donc à attendre des services de la DGCCRF concernant la possibilité, pour les agents immobilier, de faire des « rabais » sur les honoraires pratiqués lors d’une transaction immobilière. Mais la discussion reste toujours possible sur comment on interprète « affaires particulières » ! Une notion sujette à différentes interprétations de la part des services de la DGCCRF, ce qui n'est guère source de sécurité juridique ... Ni pour les acquéreurs, ni pour les agents immobilier.
Côté agent immobilier, la loi est claire. Notre barème d’honoraires concernant la vente doit être en principe respecté. Si l’on peut pratiquer un « rabais » sur nos honoraires à l'occasion d'une vente, nous serons bien prudent de ne le faire que de manière occasionnelle, en ne réservant cette manière de faire uniquement pour des transactions qui « sortent de l'ordinaire » au regard de notre activité habituelle (mandats exceptionnels, type de produits différent de nos habitudes, etc.). Toute pratique commerciale de type « petit rabais » est en outre à prohiber si l’on veut respecter la loi et avancer en toute confiance avec nos partenaires et clients.
Source : Flash info SNPI (Syndicat National des Professions Immobilieres) du 09/11/2017 --- Lien direct assemblée nationale : http://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-1209QE.htm
Le prêt à taux zéro est un prêt immobilier qui permet de financer l’achat ou la construction d’un premier logement neuf au titre de la résidence principale. Pour cela, un ménage ne doit pas avoir été propriétaire de sa résidence principale durant les deux dernières années. Ce prêt doit être cumulé à un prêt principal avec éventuellement un apport personnel du primo-accédant. Il est accordé par des banques ayant signé une convention avec l’État et la société de gestion du dispositif. Le PTZ peut aussi être accordé pour l’achat d’un logement ancien sous la condition de réaliser un budget de travaux à hauteur d'un tiers du prix d'acquisition. A noter qu’il n’y a pas de frais de dossier, n’y d’intérêt !
Le président de la république, Emmanuel MACRON souhaite prolonger cette mesure mais avec certaines modifications comme notamment un financement limité à 20% du montant maximal contre 40% aujourd’hui
Ce qui va changer
Revenus du ménage
Pour être éligible au PTZ, l’emprunteur ne doit pas dépasser un certain plafond de revenus qui varie selon la zone et la composition du foyer. Le revenu fiscal de référence N-2 est utilisé. Par exemple, la limite pour une personne seule est de 37 000 euros en zone A (Paris) tandis qu’elle sera de 24 000 euros en zone C (zones rurales). Pour un ménage de 4 personnes, ces plafonds sont doublés.
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Plafonds de ressources à ne pas dépasser selon la taille du foyer (revenu fiscal de référence N-2) |
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en euros, source : ministère du Logement |
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Zone A |
Zone B1 |
Zone B2 |
Zone C |
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1 personne |
37 000 |
30 000 |
27 000 |
24 000 |
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2 personnes |
51 800 |
42 000 |
37 800 |
33 600 |
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3 personnes |
62 900 |
51 000 |
45 900 |
40 800 |
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4 personnes |
74 000 |
60 000 |
54 000 |
48 000 |
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5 personnes |
85 100 |
69 000 |
62 100 |
55 200 |
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6 personnes |
96 200 |
78 000 |
70 200 |
62 400 |
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7 personnes |
107 300 |
87 000 |
78 300 |
69 600 |
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8 personnes et plus |
118 400 |
96 000 |
86 400 |
76 800 |
Part de financement par le PTZ
Pour le calcul du montant du PTZ, on applique un pourcentage de 40% au coût maximal de l'opération toutes taxes comprises, dans la limite d'un plafond. Ce coût comprend le coût de la construction ou de l'achat et les honoraires de négociation. Les frais d'acte notarié et les droits d'enregistrement ne sont pas inclus. Pour...
Le manque de temps, la complexité du cadre légal, les risques encourus suite à la sélection du locataire... Multiples sont les raisons qui peuvent vous pousser à déléguer tout ou partie du processus de gestion locative de vos biens immobiliers. Mais où placer le curseur? Telle est la question que vous devez vous poser.
En effet, depuis la gestion autonome, par vos soins, jusqu'à la mise en gestion de votre bien au sein d'une agence immobilière, tous les cas de figures sont à envisager. Une chose est sûre, n'hésitez pas à vous contactez notre agence Vives Immobilier de Capestang pour obtenir de plus amples informations et conseils sur la mise en location de vos biens.
Pour plus d'informations sur nos prestations, consultez la page "faire-gérer sa location"
